Les ouvertures devaient être installées semaine 19/2017 par votre ‘‘meilleur poseur’’, dixit monsieur LE COCGUEN. Les travaux ont été sans cesse reculés.
[justify]Le 06 juillet, nous avons reçu la facture avant le début des travaux. Mon épouse m’a réclamée de payer…Ambiance ![/justify]
[justify]Monsieur Damien ROUVIERE est finalement intervenu semaine 27 et en partie semaine 28. Deux semaines de croisière familiale avec nos enfants ont été supprimées. (Les frais incompressibles annuels de notre voilier s’élèvent à 3650 euros (Référence : 2016)) Et, seule mon épouse et mes enfants, dont le parrain, ont pu assister à un baptême à Croix près de Lille. Je suis resté surveiller la maison et monsieur ROUVIERE…[/justify]
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[justify]Le vendredi 07 juillet, monsieur ROUVIERE m’a indiqué qu’il ne viendrait pas le lundi car il avait du travail à Hennebont. Le lundi soir, il m’a téléphoné pour annuler sa venue le lendemain mardi, car il partait travailler à Quiberon… Deux journées de perdues ! Le mercredi, j’ai appris que monsieur ROUVIERE était ‘‘ingérable’’ depuis deux mois ! [/justify]
[justify]Il m’a fallu batailler verbalement pour que l’intéressé vienne continuer le travail le samedi 15 juillet. Dans le cas contraire, mon habitation serait restée avec des ouvertures bicolores pendant de nombreuses semaines…ou de nombreux mois…ou plus…[/justify]
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[justify]Lors du retrait des emballages des ouvertures par monsieur ROUVIERE, la lame du ‘‘Cutter’’ a rayé une porte de couleur Anthracite à deux endroits sur des longueurs de cinq et vingt-cinq centimètres avec la lame du ‘‘Cutter’’ et peut-être occasionné une corrosion future. Une autre
fenêtre a été cabossée dans sa partie supérieure. J’ai fait remarquer ces détériorations à monsieur LE COCGUEN. J’ai réclamé et obtenu, en compensation d’une remise en état très couteuse de la porte, et de son remplacement provisoire par… un vigile ?, la gratuité des coulisses gris clair des volets précédents.[/justify]
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[justify]Nous avons perdu les deux premières semaines de vacances de juillet et deux jours de croisière avec un couple d’amis navigateurs, incapables de gérer seuls un navire de treize mètres, qu’ils avaient loué.[/justify]
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[justify]Début août, puis plus tard, vous nous avez adressé un rappel puis une injonction de payer. Les travaux étaient encore en cours. Mon appel vers votre siège social a été remarquable. Plutôt que de faire ‘‘profil bas’’, la personne m’a littéralement prise pour un con.[/justify]
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[justify]Un plaquiste devait venir les 4 et 5 septembre pour effectuer des finitions intérieures autour des ouvertures. Ce travail a finalement été transféré à l’entreprise de décoration BEGUIN, qui a accepté et a ainsi pu intervenir le 11 septembre, conformément à la programmation de ses chantiers.[/justify]
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[justify]En septembre, j’ai du moi-même contacté le service après vente (S.A.V.), dont les coordonnées m’avaient été communiquées par monsieur LE COCGUEN. [/justify]
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[justify]Début octobre, il est devenu impossible de fermer la porte de liaison entre le garage et la cuisine. Un ami menuisier professionnel est intervenu pour raboter l’huisserie. Il m’a fait remarquer que celle-ci avait été coupée en haut et trop court en bas et aurait du être scellée dans le sol et non sur le sol. Cette non-conformité, véritable travail de minable, est à l’origine du resserrement des montants de l’huisserie.[/justify]
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[justify]Le 13 novembre, un de vos collaborateurs s’est présenté avec le matériel mais sans consignes concernant le travail à effectuer. J’ai pallié cette insuffisance, pourtant notée sur deux pages et demie, préparées par moi-même et annotées techniquement par monsieur LE COCGUEN, le 4 septembre. Les finitions, programmées les 13 et 14 novembre, n’ont pas pu être terminées. Mon appel téléphonique vers monsieur Aurélien (?) du S.A.V. a permis de programmer la suite du travail au jeudi 23 novembre. Le 14 novembre, ce collaborateur a gentiment réclamé au S.A.V., à ma demande expresse, de pouvoir poursuivre le travail le vendredi 15 novembre. Car 2018 approche ![/justify]
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[justify]Depuis la date de commande en début de l’année, j’ai appris l’incompétence de l’un, les mensonges de l’autre, le renvoi de monsieur ROUVIERE, qui refusait d’effectuer les finitions pourtant prévues au contrat, pour mieux travailler en douce à son compte, la mise à pied de monsieur LE COCGUEN pour son manque de résultats…[/justify]
[justify]Ma famille a souffert d’une incompétence globale de gestion des travaux, sans cesse repoussés. Notre emploi du temps a été difficile à programmer et a subi de nombreuses modifications. L’ambiance familiale a parfois connut des pics de son intolérables.[/justify]
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[justify]J’aurai été particulièrement heureux de pouvoir vanter votre entreprise à autrui, suite à mon choix initial. Mais je renvoie mes connaissances vers une autre société. Mes voisins mitoyens ont, depuis, fait appel à eux et en font la publicité.[/justify]
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[justify]Parce que la gestion calamiteuse du calendrier et les problèmes internes, au sein de votre entreprise, se sont répercutés sur nous, clients, j’ai décidé de conserver 5% de la somme globale des travaux, qui s’élève à 12151.33 euros. Ci-joint un règlement de 7493.27 euros, en complément de l’acompte versé à la commande (3465.48 euros) et du transfert de certaines finitions vers la société BEGUIN (405.01 euros).[/justify]
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[justify]Qui dans votre entreprise aurait accepté d’être traité ainsi comme client ? Personne ![/justify]