Revue de presse - LaVieImmo.com : Pour bon nombre de particuliers, devenir propriétaire de sa résidence principale est un rêve. Une récente étude le prouve. L'accès à la propriété est ...
Dans l'imaginaire collectif, accéder à la propriété est synonyme de réussite et reste l'un des objectifs majeurs à atteindre : vie accomplie = devenir propriétaire. Toutefois, la question "faut-il acheter ou louer ?" se pose tôt ou tard.
Le contexte économique de cette dernière décennie a quelque peu changé la donne et ce choix ne se résume plus à un débat financier. De nouveaux facteurs sont à appréhender afin de prendre la bonne décision et la location peut s'avérer une meilleure option dans bien des cas.
L'aspect financier reste le nerf de la guerre Si la situation économique personnelle n'a plus le monopole de la réflexion inhérente au logement, elle n'en demeure pas moins primordiale. Une fois que l'apport personnel et la possibilité d'emprunt sont établis, les frais complémentaires (notaire, agence, travaux) et les paramètres économiques du marché doivent être considérés ....
Ben des cas' soc' comme il y en a des millions qui sont dépendants et se retrouverons dans la m*** le jour où l'état n'aura plus les moyens de leur donner des aides.
Ok... prenons l'exemple connu d'une dame divorcée avec une petite retraite de fonctionnaire à 1000 euros/mois en colocation avec son fils majeur car handicapé mental, 900 euros d'AAH. Leur loyer mensuel est de 500 euros pour une petite maison de campagne, ce qui est en dessous des 33% de taux d'effort. Ils perçoivent une allocation logement de près de 200 euros pour la mère, un peu plus de 150 euros pour le fils. Il leur reste donc moins de 150 euros de leur poche pour honorer leur loyer.
Questions : est-ce qu'une retraitée qui n'a pas choisi d'avoir un fils handicapé ni forcément voulu le divorce fait partie des "cas' soc'" pour toi Albadeziles ? Et pour revenir au sérieux du sujet initial, a-t-elle tort à son âge et le peu d'effort financier à fournir de louer plutôt que d'acheter ? (elle a d'ailleurs été propriétaire durant sa vie active)
Chaque situation est particulière, tout le monde n'a pas forcément intérêt à acheter, ce qui est vrai aussi pour de jeunes actifs qui pour réussir leur carrière professionnelle doivent souvent déménager. Ce fut le cas pour un de mes locataires resté un an seulement dont la gnaque et la mobilité lui a permis de passer de "chef de rayon" à directeur de supermarché.
Ne jugeons pas "au paraître" et ne soyons pas condescendants envers les non propriétaires, il n'y a pas que des "cas' soc'" ou des gens qui n'ont pas réussi leur vie parmi eux.
Heuuu...Où as-tu lu qu'on traité les locataires de cas sociaux???
C'est toi dans ton poste précédent qui a justement assimilé les locataires à des gens vivants des APL...
Beaucoup de locataires travaillent et payent leur loyer sans l'aide de la CAF.
Qu'est-ce que tu racontes juan66 ? Je réponds au, je cite, "Ben des cas' soc' etc." de Albadeziles ci-dessus qui assimile APL/ALS à "cas' soc'" alors que ce n'est pas forcément le cas cf mon exemple. Et dans le même texte j'ai aussi donné l'exemple d'un locataire qui travaille durement mais qui a tout intérêt à rester locataire pour la mobilité professionnelle, et lui bien sûr n'a droit à aucune aide.
+1, tout le monde n'a pas eu la chance de réussir ses études. Et quand bien même certaines professions (je pense aux temps partiels) ne permettent pas de vivre correctement et heureusement que les aides sociales sont là.
Ne pas mettre tous le monde dans le même panier.
Vous aimez l'adrénaline? Vous voulez pimenter votre vie? Alors faites construire sans étude de sol G2AVP...
Je vois pas le rapport ce sujet dévie énormément en plus même en ayant fait des études tu trouve pas forcément du boulot avec une rémunération en accord avec ton niveau alors bon