Revue de presse - cBanque.com: En France, 6 ménages sur 10 sont propriétaires de leur résidence principale selon l’Insee. Et une large part d’entre eux ont soldé leur emprunt immobilier.
En 2017, la France compte très exactement 35,7 millions de logements, dont 29,3 millions de résidences principales, 3,4 millions de résidences secondaires et près de 3 millions de logements vacants. Le parc de logements s’accroît ainsi au rythme de 1,1% par an depuis 30 ans selon une étude de l’Insee dévoilée la semaine passée. Dans ce parc, 56% des logements sont des maisons même si la part de l’habitat collectif est en progression.
L’Insee précise par ailleurs que 58% des ménages sont actuellement propriétaires de leur résidence principale : une part qui « n’a cessé de croître depuis les années 1980 jusqu’en 2010 », mais qui reste « stable ces dernières années ». Etonnamment, la proportion de locataires se stabilise elle aussi, en se maintenant juste sous les 40% ....
Membre super utileEnv. 2000 messageLautenbach (68)
Le loyer de solidarité concerne les propriétaires qui ont terminés de payer leur maison. Le gouvernement trouve injuste qu'ils ne payent ni prêt, ni loyer........
Pourquoi un locataire même aisé payerais 2 loyers?
Membre ultra utileEnv. 10000 messageUn Coin Discret De Haute-savoie (74)
Ok, compris. Ce n'est pas du tout le "loyer de solidarité" (qui est un surloyer pour les locataires HLM au dessus des plafonds) c'est une rumeur qui a tourné en légende urbaine sous l’influence active des partisans de Fillon (vous vous souvenez, l'homme honnête de la présidentielle 2017) sous le vocable de "taxe sur les loyers fictifs" : c'est totalement bidon !
Membre super utileEnv. 2000 messageLautenbach (68)
Ok pour le nom. Malheureusement les rumeurs ne partent jamais de rien, et un jour de début aout, ca passera en douce et hop.
C'était juste une aparté sur le sujet ;)
Intéressant, moi aussi j'avais gardé en tête cette rumeur, sans savoir que c'en était une (mais sans trop avoir peur, un truc pareil aurait beaucoup de mal à passer).
Une difficulté n'en est plus une, à partir du moment où vous en souriez, où vous l'affrontez. (BP)