Etancheité à l'air inclu les planchers ou non ?

C est surtout avec le schema de droite que tu risque d avoir de l humidité...

Ce n est pas facile de comprendre comment fonctionne l hydrometrie car plusieurs parametres entre en compte (temperature, pression ect..)

Voici un petite histoire qui peut aider a ce faire une idée: dans la société ou je travaillais il y qq année , nous fabriquions des ' cuves ' en aciers, que nous expedions partout dans le monde.
L emballage etait par habitude tres spartiate, puis arrive un nouveau Bos qui decida , de faire des emballage etanche (scotch+plastique) et expedition par bateau (6 semaines en mer).
La cuve est arrivée rouillé et l emballage plein d eau.... L emballage avait été fait sous une dizaine de degré en plein automne , mais la temperature de la destination du colis etait de 30 °, l interieur avait condensé. Cest pour ca que je pense qu en bout du plancher, cela risque d etre humide......

JulienPilette a écrit:

Bonjour,

Je viens de rencontrer un compagnon ossature bois qui m'indique que l'étanchéité à l'air doit exclure les planchers (dessin de droite) Alors qu'on m'a toujours expliqué la technique de gauche.


(l'unique utilité du dessin est de parler des par/freins vapeur :o) )

Son argument est de dire que chaque isolation soit être protégé de l'humidité intérieure sinon je risque d'avoir de l'humidité dans mes planchers.

Est ce vrai ? exagéré car VMC double flux ?

Merci de m’éclairer.
Cordialement.

Il sera toujours plus simple de traiter un linéaire que "d'emballer" convenablement un plancher intermédiaire, non ? Le principe de droite je ne pratique pas, et je comprend pas son intéret. Maintenant, je ne construit presque plus en bois, et j'ai peut être raté un truc, mais je reste plus que dubitatif !
Je base mes principe de mise en oeuvre sur les traités de détails allemands (édition Detail http://shop.detail.de/blaett[...]ndex.html), et jamais vu cette mise en oeuvre, qui sur un plancher intermédiaire empeste le sinistre.
Après, vu qu'il y a une foultitude de mise en oeuvre possible (massif, solive+différents type possible de liaisonnements), il faudra adapter à l'option retenue.

La réponse est dans les règles de la physique !
(Je donne une réponse d'ingénieur, pas d'architecte)

L’isolation à protéger est celle qui subit un gradient d’humidité (différence de H%) avec risque d’accumulation en cas d’obstacle à sa migration vers l’extérieur. C'est donc l'isolation entre l’intérieur de l’extérieur de la partie habitée.
Nota: le gradient peut s'inverser en été !

Le principe du croquis de gauche convient donc parfaitement puisque l’isolation du plancher est interne à la parie habitée, sans gradient d’humidité et par ailleurs régulée par la VMC