A eviter trecobat a la rochelle (Charente Maritime) Résolu

Pour nous concaîcre, rien de mieux qu'un récit de ta construction

Pour commencer, un an pour avoir le permis de construire.
Décembre 2015 : Nous signons le CCMI pour une maison de 111 m2. L'agence Trecobat s'occupant du RDC, l'étage étant à notre charge. En effet, notre projet de départ était une maison hors d'eau-hors d'air. Toutefois, nous avons estimé qu'avoir seulement l'étage à notre charge était un bon compromis.
Nous sommes su un terrain compliqué et les pieux pouvaient être une soluion. Mais, à cette époque,le commercial nous a certifié que Trecobat avait une nouvelle méthode de fondation (selon ses propos : une structure métallique en étoile, qui avait apparemment servi pour la construction d'une maison dans le lotissement voisin). Toutefois, ces fondations exigent un surcoût de 8 000 EUR.

Février 2016 : Présentation de la refonte avec l'apparition de cette clause stipulant à notre charge plus 18 000 EUR si l'étude de sol révèle la nécessité des pieux. Il faut savoir également que nous avons choisi un modèle de maison en cube à étage, selon le commercial, cette structure permet de limiter les reports de charge et ne nécessite qu'une structure métallique en étoile. Etant donné notre accord passé en Décembre, la pilule des éventuels 18 000 EUR en surcoût passe mal.
Nous signalons également sur cette première refonte quelques modifications.
Dans la continuité, nous prenons contact avec un bureau d'étude géothermique pour l'étude de sol G12 (+ 1300 EUR). Le commercial nous avais dit qu'une convention avait été passé avec un bureau d'étude facturant à 1 500 EUR les G12 des clients Trecobat. Lorsque j'ai joins ce bureau, le tarif annoncé avait doublé. Fort heureusement, nous avons réussi à trouver un bureau d'étude selon les tarifs du marché.

Mars 2016 : le permis n'est toujours déposé. 4 mois après la signature.

Mai 2016 : Enfin ,le permis est déposé.

Juin 2016 : La mairie exige de nouvelles couleurs de façades et quelques petits points que nous réglons. Le PC arrive sur le bureau de la CDA de La Rochelle.

Septembre 2016 : N'ayant pas de nouvelles, je décide de joindre la CDA. La responsable m'annonce que notre dossier est bloqué car Trecobat n'a pas fait les modifications demandées. En effet, la CDA a envoyé un courrier à Trécobat début Juillet 2016 dénoncant plusieurs problèmes.
Comme tout règlement d'un lotissement, il manquait sur le permis : un arbre dans le jardin, les haies sur les bordures, la place réservée aux deux roues... J'appelle immédiatement le commercial pour lui expliquer la situation. Si je n'avais pas appelé mi-septembre la CDA, où en serait la construction ?
C'était son permier PC ?

Octobre 2016 : Le commercial m'annonce que la mairie de la commune refuse le permis car il n'accepte pas le toit monopente (comme initialement prévu normalement). Il me dit alors qu'il faut passer par un toit acrotère mais que cette modification entraîne plus 4 000 EUR à notre charge. Je lui demande un temps de réflexion pendant lequel je prends RDV avec la responsable de l'urbanisme de la commune. Lors de l'entretien, elle m'a bien fait comprendre que ce n'est pas le toit monopente qui est interdit sur la commune mais le matériel utilisé par Trecobat. En effet, la commune accepte les toits monopente mais seulement en zinc.
Je reviens vers le commercial en lui expliquant le problème et je lui précise que je ne paierai pas un centime de plus selon la somme précisée sur le CCMI. Sa phrase fétiche ressort alors « je vais voir avec ma direction ».

Décembre 2016 : Soit un an après avoir signé le CCMI, le PC est accordé. Nous devons signer un avenant au CCMI pour la durée de la construction. En effet, nous avons dépassé les délais prévus sur le CCMI.

Février 2017 : Le terrassement commence. Les fondations se font mais nous n'avons pas vu cette fameuse structure en étoile qui nous a coûté 8 000 EUR en plus sur le devis.
Et, le commercial nous représente la nouvelle refonte mais avec les mêmes problèmes soulignés 11 mois plus tôt et sans les modifications exigées.

Mars 2017 : Le gros oeuvre commence.

Septembre 2017 : Les murs sont montés mais la maison n'est pas hors d'air - hors d'eau. Il n'y a ni toit, ni fenêtres, ni portes. Et aucun retour de la part du chef des travaux et du commercial sur l'arrêt des travaux.

Octobre 2017 : Hors d'eau - hors d'air. La nourrice est mal placée il faut tout refaire le chauffage au sol. Là, ils viennent de couler la chape mais le placo n'est même pas fait ???
Et je passe le soucis avec le toit du voisin mitoyen.

J'espère que le récit vous a convaincu car j'ai d'autres chroniques Trecobat sous le coude.

J'ai lu, c'est un fait et j'ai surtout constaté qu'ils t'avaient bien pris dans les poches .

Tu devrais te rapprocher de l'aamoi pour pouvoir récupérer tes billes

Sinon, des photos des erreurs évoquées ?

Bonjour

Quand on parle de "récit", ça veut dire raconter son histoire, photos à l'appui, dans la section récit, et non raconter son problème au milieu d'un post "classique".

Ici votre message risque d'être peu lu. Un récit, lui, sera sans doute lu par les futurs clients hésitant à construire avec eux. Vous pourrez meme donner votre évaluation de ce constructeur.

Pour conclure ce post, je tiens à préciser que nous avons emménagé en Février 2018. A cette date, nous avons signé un protocole d'accord en forme de dédommagement. Ainsi, Trecobat nous a indemnisé à hauteur de la dernière facture afin de compenser les divers problèmes rencontrés.

Bonjour,
Nous venons de commencer notre construction à St Palais sur mer avec TRECOBAT agence ROYAN/LA ROCHELLE et nous accumulons les déboires, mais le plus grave ce sont les fondations. nous n'avons aucune certitude en ce qui concerne la stabilité du bâtiment dans les années à venir. Après étude de sol à notre initiative après avoir vu le prestataire maçonnerie à l'oeuvre, et croyant sur parole l'équipe TRECOBAT qu'il n'était pas nécessaire d'en faire une, il s'est avéré qu'un sondage a révélé une couche d'argile, faible peut-être mais aucune certitude s'il n'y a pas d'autres couches plus épaisses sous la maison et le garage. Le directeur de l'agence invente (le mot est fort mais juste) une visite de son conducteur de travaux lors du coulage de nos fondations avec vérification du sol (calcaire) alors que celui-ci a déclaré devant notre expert et nous-même qu'il ne s'était pas rendu sur le chantier car il n'avait pas le temps (18 chantiers) sur la région. Comment voulez-vous faire confiance? L'immaturité de ce constructeur m'inquiète et je viens de découvrir que ce constructeur est a éviter d'après l'AAMOI. Nous portons l'affaire en justice pour les fondations. et je crains le pire pour les autres prestataires si cette maison est construite par TRECOBAT!

pac17340 a écrit:

Pour commencer, un an pour avoir le permis de construire.
Décembre 2015 : Nous signons le CCMI pour une maison de 111 m2. L'agence Trecobat s'occupant du RDC, l'étage étant à notre charge. En effet, notre projet de départ était une maison hors d'eau-hors d'air. Toutefois, nous avons estimé qu'avoir seulement l'étage à notre charge était un bon compromis.
Nous sommes su un terrain compliqué et les pieux pouvaient être une soluion. Mais, à cette époque,le commercial nous a certifié que Trecobat avait une nouvelle méthode de fondation (selon ses propos : une structure métallique en étoile, qui avait apparemment servi pour la construction d'une maison dans le lotissement voisin). Toutefois, ces fondations exigent un surcoût de 8 000 EUR.

Février 2016 : Présentation de la refonte avec l'apparition de cette clause stipulant à notre charge plus 18 000 EUR si l'étude de sol révèle la nécessité des pieux. Il faut savoir également que nous avons choisi un modèle de maison en cube à étage, selon le commercial, cette structure permet de limiter les reports de charge et ne nécessite qu'une structure métallique en étoile. Etant donné notre accord passé en Décembre, la pilule des éventuels 18 000 EUR en surcoût passe mal.
Nous signalons également sur cette première refonte quelques modifications.
Dans la continuité, nous prenons contact avec un bureau d'étude géothermique pour l'étude de sol G12 (+ 1300 EUR). Le commercial nous avais dit qu'une convention avait été passé avec un bureau d'étude facturant à 1 500 EUR les G12 des clients Trecobat. Lorsque j'ai joins ce bureau, le tarif annoncé avait doublé. Fort heureusement, nous avons réussi à trouver un bureau d'étude selon les tarifs du marché.

Mars 2016 : le permis n'est toujours déposé. 4 mois après la signature.

Mai 2016 : Enfin ,le permis est déposé.

Juin 2016 : La mairie exige de nouvelles couleurs de façades et quelques petits points que nous réglons. Le PC arrive sur le bureau de la CDA de La Rochelle.

Septembre 2016 : N'ayant pas de nouvelles, je décide de joindre la CDA. La responsable m'annonce que notre dossier est bloqué car Trecobat n'a pas fait les modifications demandées. En effet, la CDA a envoyé un courrier à Trécobat début Juillet 2016 dénoncant plusieurs problèmes.
Comme tout règlement d'un lotissement, il manquait sur le permis : un arbre dans le jardin, les haies sur les bordures, la place réservée aux deux roues... J'appelle immédiatement le commercial pour lui expliquer la situation. Si je n'avais pas appelé mi-septembre la CDA, où en serait la construction ?
C'était son permier PC ?

Octobre 2016 : Le commercial m'annonce que la mairie de la commune refuse le permis car il n'accepte pas le toit monopente (comme initialement prévu normalement). Il me dit alors qu'il faut passer par un toit acrotère mais que cette modification entraîne plus 4 000 EUR à notre charge. Je lui demande un temps de réflexion pendant lequel je prends RDV avec la responsable de l'urbanisme de la commune. Lors de l'entretien, elle m'a bien fait comprendre que ce n'est pas le toit monopente qui est interdit sur la commune mais le matériel utilisé par Trecobat. En effet, la commune accepte les toits monopente mais seulement en zinc.
Je reviens vers le commercial en lui expliquant le problème et je lui précise que je ne paierai pas un centime de plus selon la somme précisée sur le CCMI. Sa phrase fétiche ressort alors « je vais voir avec ma direction ».

Décembre 2016 : Soit un an après avoir signé le CCMI, le PC est accordé. Nous devons signer un avenant au CCMI pour la durée de la construction. En effet, nous avons dépassé les délais prévus sur le CCMI.

Février 2017 : Le terrassement commence. Les fondations se font mais nous n'avons pas vu cette fameuse structure en étoile qui nous a coûté 8 000 EUR en plus sur le devis.
Et, le commercial nous représente la nouvelle refonte mais avec les mêmes problèmes soulignés 11 mois plus tôt et sans les modifications exigées.

Mars 2017 : Le gros oeuvre commence.

Septembre 2017 : Les murs sont montés mais la maison n'est pas hors d'air - hors d'eau. Il n'y a ni toit, ni fenêtres, ni portes. Et aucun retour de la part du chef des travaux et du commercial sur l'arrêt des travaux.

Octobre 2017 : Hors d'eau - hors d'air. La nourrice est mal placée il faut tout refaire le chauffage au sol. Là, ils viennent de couler la chape mais le placo n'est même pas fait ???
Et je passe le soucis avec le toit du voisin mitoyen.

J'espère que le récit vous a convaincu car j'ai d'autres chroniques Trecobat sous le coude.

Merci pour ces renseignement bien utile ça refroidit de bosser avec eux!!!