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[07] Maison pour la retraite à Privas

Récit de construction de Paddos - 25 messages - Affiché 4.211 fois

Présentation du projet :


Bonjour à tous,
Nous possédons, ma femme et moi, un terrain à près de 650 km de chez nous, il ne restait plus qu'à le mettre en valeur en le nettoyant et en agrandissant une vieille baraque de vigne de 40 m² ou en construisant une maison simple de plain pied. La place ne manque pas, le quartier est agréable, encore à la campagne mais avec quelques avantages de la ville.

Début avril, après de nombreux contacts par Internet, nous nous sommes rendus à Privas pour rencontrer des constructeurs de la région. Nous en avons rencontré un qui a su nous convaincre par la qualité de son showroom et le choix fourni de son catalogue : la Maison des Compagnons de Roussilon. Cela n'a pas toujours été le cas, un très gros constructeur de Montélimar n'a même pas pris la peine de communiquer. C'est sûr, le titre donne confiance mais ce qui nous a séduits, c'est aussi la qualité des échanges et la souplesse dans l'élaboration d'un projet. Notre budget était bien arrêté et comme tout le monde, on l'a dépassé. A 63 ans, je suis en retraite depuis le 1er mars et je veux en profiter malgré l'investissement conséquent. Je devrais pouvoir emprunter sur 12 ans grâce la Casden Banque Populaire. J'attends la réponse de la banque. Le constructeur rappelle bien les coûts annexes d'environ 20% supplémentaires que représentent l'assainissement, la préparation du terrain, l'aménagement intérieur et j'en passe.

Nous étions assez pressés, le PLU sera rediscuté en 2018 et ce terrain est menacé de passer de la catégorie Uc à Aua : à urbaniser. Cela se produit tous les 5 ans et rien n'évolue, les projets d'aménagement tombent à l'eau. C'est à la fois dommage et rassurant mais je ne voulais pas revivre la nécessité de me battre pour conserver ma liberté de construire une maison de plain pied sur mon bien.

Ma première idée était l'agrandissement de la vieille baraque mais la rapidité de mise en œuvre d'un projet neuf m'a convaincu de signer un CCMI le 29 juin 2017.
Les plans définitifs sont encore en cours d'élaboration, ce n'est pas évident de respecter les besoins de confort et la limites de 85 m² habitables. La maison sera dotée d'un garage de 20 m² et d'une loggia de 14 m² sous un toit 4 pans. La partie vie 41 ou 42 m², la partie nuit le reste avec 3 chambres, SDB, WC séparé et dégagement. L'équipement : Chauffe Eau ThermoDynamique, PAC et VMC DF THR. Volets roulants et porte de garage sectionnelle motorisés. SDB avec douche à l'Italienne, baignoire et double vasque. Je me réserve la pose de la VMC et des revêtements de chambres. Et puis bien sûr, les incontournables finitions de ponçage, peinture, placards et tout le tralala. J'aurais voulu garder les enduits pour moi mais faut pas non plus s'en mettre trop et penser au dos de la bête.

Depuis 3 semaines, j'ai bien réalisé une vingtaine de simulations d'aménagement avant d'arriver à tout caser dans la surface définie. J'ai bon espoir que l'architecte accepte de se rapprocher de ce que je propose. J'ai aussi quelques idées à part, j'ai connu tellement de dispositions inconfortables que je peaufine à fond les détails; et malgré cela, il y aura encore des erreurs. Je ne maîtrise pas tout mais j'espère avoir le moins de modifications à apporter par la suite.
Je présenterai les plans quand ils seront près pour le permis de construire, peut-être dans 15 jours.
J'aurais préféré une maison isolée par l'extérieur mais cette pratique n'est pas aisée, les fabricants de blocs bétons-bois ne sont pas très encourageants (prix, mise en relation avec d'autres, liens avec des maçons, ...) Je tenais également à un enduit extérieur proche du traditionnel, les enduits minces m'horripilent, au bout de 10 ans c'est parfois déjà en cours de dégradation. La Maison des Compagnons a préféré rester dans ce qu'elle a l'habitude de faire avec ses artisans habituels et cela se comprend.
je ne vous inviterai pas à me donner des conseils, il sera trop tard pour les suivre mais vos critiques me toucheront et j'essaierai de justifier mes choix, vous l'avez remarqué, je suis un bavard. J'espère garnir régulièrement de photos l'avancée de ce projet.

D'avance je vous remercie tous pour l'aide que vous m'avez apportée sans le savoir avec vos témoignages ou vos conseils
.
A bientôt sur ce projet,
cordialement,

Paddos.

Picto list Sommaire du récit :

Picto list Photos du récit :

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Le récit de la construction :

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« Patience, cela démarre »

Préparation > Permis de construire Par Paddos le 11/09/2017 à 11h03
Bonjour à tous,
je demande à ceux qui souhaitent suivre ce projet de m'excuser de mon silence depuis le début.
Par précaution, nous avons demandé un avis au service d'urbanisme de Privas concernant l'accès au terrain pour assurer une meilleure sécurité sur le boulevard.
De plus, les congés du mois d'aout ne favorisent pas une avancée rapide.
Finalement la demande de permis de construire a été signée le 4 septembre 2017.
je joins quelques images du projet.Plan vu de dessus simplifié.
<br />
La position de quelques éléments reste à déterminer.
<br />
(C.E. thermodynamique, VMC, PAC, ...)La mise en place de la cuisine telle que nous l'envisageons.
<br />
Rien n'est encore défini, nous vérifions l'encombrement et le positionnement par rapport aux ouvertures.

Implantation prévue de la VMC DF.
<br />
L'accès aux filtres est aisé, au plafond du couloir.
<br />
Le modèle et équipements ne sont pas complétement arrêtés.


[url=http://www.forumconstruire.com/photos/viewer-pid_1581645.php][/url]
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« Caprices des services de la Mairie. »

Préparation > Permis de construire Par Paddos le 06/11/2017 à 09h24
Bonjour,
Voici les dernières péripéties :
Nous avions le choix entre 2 entrées acceptées par écrit par la responsable d’urbanisme début septembre, le plan de masse que je vous ai présenté avec sas de sécurité à créer :
Le plan de masse :
<br />
Un portail sous porche existe déjà mais son accès représente un danger sur le boulevard. Sa hauteur de passage est limitée.
<br />
Une nouvelle entrée sécurisée sera créée qui permettra le stationnement de courte durée sans empiéter sur la  voie publique.

 ou la sortie existante, un porche avec 2 battants en chêne qui serait devenu un accès piétons.
Le porche qui risque d'être démoli.
<br />
Au fond la baraque de vigne de moins de 40m².


Le 18 octobre nous sommes à Privas, la responsable de l’urbanisme veut nous voir. Rendez-vous prévu le vendredi 20 au matin.
Avec le responsable technique, elle nous annonce le refus pour la sortie sécurisée.
Ils veulent nous obliger à sortir par le parking récemment créé à coté sur la parcelle 246.
6 mois auparavant j’ai tenté d’engager des discussions sur cette sortie possible, par le futur parking, sans succès.
Notre future maison a donc été pensée pour une sortie vers le boulevard, le garage est au sud pour cette raison.

Tout a demandé beaucoup de travail et 6 mois d’échanges avec le constructeur, Loggia, SDB, Cuisine VMC DF, PAC et j’en passe.
Il faudrait que nous recommencions tout.

Je me suis fâché, pas question que je recommence tout pour une sortie qui, en plus ne me convient pas ni sur le choix du point de sortie sur le parking ni sur l'obstacle à franchir dont je n'ai jamais eu à participer lors de la conception. Je suis tout de même un des premiers concernés.
C’est ça ou le refus de permis. Je rétorque que la sortie existante pour ma baraque de vigne (parcelle 220) sera la sortie utilisée pour la construction.
Le parking a été surélevé de 1,5 m par rapport à ma parcelle, c’est trop tard pour engager des discussions. On a dédaigné mes propositions par anticipation et après on veut m’imposer une solution dans laquelle je n’aurais pas un mot à dire sur les modalités.
Tant pis, le portail existant ne laisse que 2,7 m de passage.
Le constructeur prévenu est réactif et envoie le plan de masse rectifié avant le 25/10, la responsable urbanisme part en congé le 26, le sas est totalement supprimé.
Sinon c’est le refus.
L'accès sécurisé a été supprimé rapidement pour obtenir le permis de construire.


La sortie sécurisée supprimée allait tout droit vers le boulevard.
<br />
Nous allons vers un modificatif de PC pour aligner la maison sur l'axe Nord-Sud et rapprocher la sortie garage vers le porche.


Nous rencontrons les collaborateurs du constructeur à Roussillon le 26 pour définir certains détails pour les matériaux et la technique.
Nous continuons le nettoyage de la parcelle et nous rentrons chez nous le 29/10. Un courrier recommandé est arrivé la veille. Le lendemain, nous apprenons que notre permis est accepté avec des réserves.
Mais en regardant notre plan de masse et par rapport au panorama vers l’est nous nous rendons compte que la maison peut être mieux orientée puisque la sortie nouvelle est refusée.
Nous allons la ramener dans l’axe Nord-Sud en la rapprochant de 2 m du parking voisin (reste 6m) et la sortie garage sera vers le porche.
Le constructeur qui nous a suggéré de la tourner jusqu’à 5 ° sans avoir à faire de démarche nous conseille alors de demander une modificatif du permis de construire (rotation d’environ 25°).

C’est décidé lundi je contacte l’urbanisme pour voir les conditions de la démarche. La responsable, malgré son refus, a en réalité voulu bien faire, la logique de la nouvelle entrée sécurisée avec 10 m d’ouverture pour apercevoir la venue de piétons de chaque coté, elle l’a bien perçue. Une voiture dans l’axe de sortie avait plus de 4 m de visibilité de chaque coté avant de s’engager sur le trottoir.
C’est le responsable des services techniques qui est en cause et qui n’a pas réagi 6 mois auparavant. Il préfère m’interdire cette nouvelle sortie pour m’imposer le parking alors que pour la maison déjà étudiée, c’est trop tard. C’est à revoir pour la sortie de la vieille baraque de vigne que je rénoverai et agrandirai plus tard.
Mais c’est de toute façon mal parti, toutes mes sorties se feront par le porche historique si le responsable des services techniques reste obstiné et à mon avis c’est le cas.
Bien que peu attiré par l’architecture ancienne, j’aurais souhaité garder ce porche au portail à 2 battants en bois qui, par sa structure raconte l’art et la vie des gens du passé. Il me faudra m’y résoudre, je devrai le démolir pour me mettre aux normes.

Cette ville qui a des atouts architecturaux a également ses verrues qui s’intègrent tant bien que mal dans le paysage. Les habitants acceptent bien ces oppositions de style mais le touriste de passage doit souvent faire la grimace. On peut y gérer des projets ambitieux dans une ville qui risque de s’endetter sans fin et l’on néglige les projets modestes de Monsieur tout le monde. Pourtant les petits ruisseaux font les grandes rivières et on veut tarir les sources. Je peux me tromper mais le dialogue avec les élus est difficile et le comportement de certains décisionnaires qui abusent de leur autorité me paraît la règle.
Devrons-nous faire face à un début d’amateurisme professionnel, à la mauvaise foi et au mépris ? Le résultat c’est que la population de Privas est en déclin depuis longtemps et ceux qui resteront financeront ces erreurs. La démocratie voudrait qu’on ouvre un dialogue constructif vers des solutions argumentées pour le bien-être de tous les usagers. C'est aussi ce que prétend faire la municipalité.

Prochaines informations rapidement, je l’espère.
En attendant je joins quelques photos du porche et du plan masse accepté qui devrait évoluer.
A bientôt.
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Bonjour à tous,
comme annoncé, nous avons établi un modificatif de permis de construire le 16/11/2017 pour orienter la maison dans l'axe Nord-sud et profiter au mieux du soleil après le refus de la création d'une ouverture ultra-sécurisée et l'obligation d'utiliser la sortie existante.
Après un peu de temps morts pour répondre à des documents réclamés par les services d'urbanisme, nous avons obtenu l'acceptation en date du 13/12/2017.
Voici les photos de la position définitive de la construction :
Comme annoncé, la maison a été orientée Nord-Sud.Comme annoncé, la maison a été orientée Nord-Sud.


Nous avançons lentement mais nous ne contournons pas les problèmes, nous préférons y réfléchir et les résoudre après une réflexion posée.

Je cherche à rénover la porte cochère présentée plus haut. La hauteur de passage au centre est d'environ 2,95 m et la largeur 2,72 m. à cela s'ajoute une feuillure intérieure de 4 à 5 cm sur les cotés et en haut.
Je possède déjà les plots de chêne et les machines à bois qui me permettront de la concevoir entièrement mais je me retrouverai avec un portail lourd et difficile à manœuvrer qui demandera un entretien constant.
La motorisation nécessitera un moteur puissant notamment par grand vent.

J'ai demandé un devis pour une porte en alliage d'aluminium avec une peinture au four qui rappelle le chêne clair.
coût autour de 4000 € posée sans moteur.

J'ai également demandé à un fabricant un devis pour une porte réalisée à partir de panneaux en nid d'abeille en polypropylène revêtus d'une double peau sur les faces et éventuellement sur les chants comme pour des plans de travail de cuisine.
La peau extérieure peut être du polyester renforcé de fibre de verre ou de l'aluminium laqué liquide, ...
L'ensemble sera encore plus léger, environ 7 kg par m².
Je n'ai pas de réponse du fabricant. Je me suis aperçu que les panneaux composites nid d'abeille ne dépassaient pas respectivement 2,44 x 1,22 ou 2,5 m x 1,25. Je ne suis donc pas sûr d'avoir un retour de ce fabricant.
Il est donc nécessaire de rassembler plusieurs panneaux en collant 2 couches de 15 ou 3 de 10 décalées l'une par rapport à l'autre par exemple. l'épaisseur est prévue à 30 mais 10 mm de plus, ça peut passer.
Quelqu'un a t-il une solution pour la réalisation de ce type d'ouvrage ?

Voici des images du travail à réaliser :
Battant gauche en tirant.Battant droit en tirant.

Merci pour vos idées.

Je recherche également un tuyau annelé de 60 cm de diamètre et 80 cm de long en Polyéthylène pour réaliser un regard. Il est commercialisé en longueur de 6 m ce qui fait un coût trop important.
Peut-être quelqu'un a déjà fait ce type d'achat et cherche à revendre un bout.
Ou vous connaissez un revendeur qui détaille.

Merci,

à bientôt,
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« Harcèlement de la ville de Privas »

Autres > Conflits - procédures juridiques Par Paddos le 09/02/2018 à 15h55
Bonjour
 
Ce n’est plus la peine de refaire le portail :
 
Sur les conseils du responsable des services techniques, j’ai fait une demande le 15/01/2018 de permission de voirie pour accéder par le parking public de la parcelle AK246, adjacente à la mienne, à mon chantier de construction début mars.
Je viens de recevoir un courrier de la mairie de Privas daté du 15/01/2018 qui me demande de ne plus emprunter ce parking.
Face à la cacophonie qui règne dans cette commune, je me résous à prendre les mesures qui s’imposent pour m’assurer que l’accès à mon chantier soit résolu en mars.
La permission de voirie sera probablement refusée.

Je joins un plan de la situation actuelle pour que chacun ait le plaisir de trouver la solution que d’autres n’ont même pas cherchée puisque tout semble improvisé.
Parcours des usagers.
La maison sera construite sur la Parcelle AK 247
Le parking a été réalisé sur la parcelle AK 246 et AK 239
En bleu le parcours réalisé par les usagers de l’école en rouge la rampe d’accès incontournable.
 
Sur l’mage satellite, le parking n’est pas encore réalisé mais la traversée du boulevard se fait sur les passages protégés par un feu tricolore, des coussins berlinois, une limitation à 30 km/h et une bande centrale surélevée.
 Vue aérienne commentée.
Nous allons donc préparer une demande de permis de démolir ou une déclaration de travaux ( à préciser ) pour supprimer la voute du porche, enlever le portail et élargir le passage pour permettre l’accès de véhicules de chantier.
Par la suite une fermeture aux normes en vigueur sera mise en place.
 L'accès existant, le porche empêche l'accès.
<br />
Il sera démoli et le passage sera agrandi à 5 m.

Le porche va être complétement détruit entre les lignes bleues pour permettre le passage des engins de chantier.
Je suis désolé pour les habitants de Privas qui m'ont félicité d'avoir conservé le dernier porche d'époque à privas, je suis dans l'obligation de le détruire après de multiples tentatives infructueuses pour le préserver.

Il est clair que la commune cherche à nuire au projet et tous les moyens sont bons pour me mettre des bâtons dans les roues. Elle organise l'enclave de mon terrain par des contraintes administratives. Heureusement, à chaque fois, j’ai anticipé les résultats des démarches qui m’incombent et la solution est toujours prête pour le prochain coup tordu de la mairie.

Ci-dessous un extrait de la lettre du maire pour m'interdire l'accès.
Accès unique parce que nouvelle ouverture sécurisée refusée.
La sécurité, et si on en parlait ?
Refermer le passage nécessite que la clôture détruite par les travaux de la commune soit refaite. De plus, chez moi, je suis libre de clore ou non.
 Le maire ne veut plus que j'utilise l'accès par le parking pour des raisons de sécurité.


Je vous expliquerai plus tard, en détails, documents à l’appui, comment et surtout pourquoi, sous le prétexte de sécurité, la mairie fait tout pour stopper la construction et me charge de travaux pharaoniques  pour traiter un problème sécuritaire qui normalement leur incombe puisqu’il se trouve sur la voie publique et que la phase d’analyse des besoins qui s’impose reste à faire.
En effet, tout ce que les responsables ont pu me dire, c’est qu’il y a un souci de sécurité. Je n’ai jamais eu par écrit la liste des points particuliers pathogènes.
Je n’ai bien sûr eu aucune liste de remèdes possibles. Je ne suis donc pas partie prenante dans les recherches de solutions.
Mais leur conclusion, c’est que c’est moi qui gêne et c’est moi qui dois financer des adaptations, hors de mes moyens budgétés.
 
Mon portail existait bien avant le boulevard et l’école. Ces deux projets sont nés sans anticiper les besoins pour les usagers, ce qui est à l’origine des problèmes (importance du trafic, parking oublié pour les usagers du même coté que l’école, …).
La clef de voute conserve la date de fabrication du porche : 1886.
La clef de voute révèle la date de construction : 1886.
<br />
Ce porche avait 131 ans.
Le porche a été débarrassé du lierre aujourd'hui (16/02/2018)
quelques centaines de kilos en moins.
Le porche ce matin en arrivant.

Ce matin j'ai déposé en mairie la déclaration de travaux pour sa destruction.
Bravo la mairie de Privas.
Aujourd'hui, le porche a été débarrassé du lierre.
<br />
Il n'y a plus qu'à taper dedans.


En réalité, entrer ou sortir de ma parcelle sur le boulevard peut se faire en toute sécurité. Suite à la réalisation du nouveau parking, il suffit d’apporter des modifications de structure à la voirie qui vont avec. Mais comme ce sont des frais supplémentaires pour la commune, on a recherché un moyen moins contraignant et le dindon est tout trouvé.
 
Bien sûr, au début, j’ai cherché à rentrer dans le cadre et avant de définir la répartition des volumes de la maison j’ai tenté d’anticiper en demandant à être intégré au groupe de réflexion pour un accès en toute sécurité et en proposant des solutions équitables concernant les travaux importants à envisager et que je ne peux assumer seul financièrement. Je peux prouver, courrier à l’appui ce que j’avance.
On aurait pu ainsi intégrer une partie de la rampe dans les structures du parking afin d’en réduire la pente en augmentant sa longueur.
 

Le dénivelé entre le parking et ma parcelle : MERCI POUR LA CLÔTURE ! En face l’école de l’autre coté du boulevard.
Mais j’avais oublié, la commune ne peut pas affecter des moyens ou deniers publics pour réparer un ouvrage privé.
Il existe pourtant des techniques pour contenir les remblais, n'avais-je pas suggéré un mur de soutènement ?


Il me faudrait réaliser à mes frais une route de 20 m de long, 6 m de large pour surmonter le dénivelé de 1,5 m qu’ils ont créé pour la réalisation du parking. Tout cela avec enrochement indispensable, en travers d’une pente à 10%.

Le responsable m'a dit avant les travaux que des cailloux risquaient d'abîmer le grillage.
Je ne m'attendais pas à retrouver ma clôture dans cet état.
Le poteau électrique en bois est chez moi, la clôture couchée également.
<br />
Bonjour les dégâts !
<br />
Si j'avais été partie prenante dans le projet de parking, j'aurais suggéré une toute autre configuration pour permettre un accès PMR. Trop tard.

Le remblai a été poussé jusqu'à plus de 50 cm de la limite à l'intérieur de ma parcelle.
La clôture dès l'entrée du parking est défoncée malgré 40 à 50 cm de remblai seulement.
<br />
La limite est l'extrémité du mur.


Ci-dessous la clôture avant les travaux sur le parking.
Le grillage est rouillé mais les piquets sont en parfait état.
La clôture avant la réalisation du parking.


La rampe ainsi réalisée rendrait l’accès difficile à une personne en fauteuil roulant, 7,5% minimum de pente alors que mon accès direct existant ne dépasse pas 2%. ( Norme handicapés : 5% maxi si plus de 2 m de long )
 
De plus des équipements incohérents ont été installés comme des barrières qu’il a fallu recouper de 2 m parce que gênantes pour tourner sur le parking. Devant mon portail, j’ai les mêmes barrières de chaque coté et on ne les a pas raccourcies.
La mise en place de ces barrières oblige à des manœuvres dangereuses. Elles sont là pour protéger les piétons et notamment des enfants et supprimer le stationnement sur le trottoir qui n’est plus un besoin.
 
Les  structures sur le boulevard : barrières, bande centrale, rampe d’accès école,…
 Structures sur le boulevard
L’idéal serait de supprimer ces barrières toutes neuves pour me faciliter l’accès et faire en sorte que les enfants ne soient plus dans l’obligation de passer devant mon portail bien que je sois très attentif à leur laisser toujours la priorité.
Cela s’appelle séparer les flux.
A partir de ce constat, la solution est tout de suite trouvée. Cela demande un tout petit peu de réflexion et des moyens qui incombent à la mairie. C’est trop demandé, il faut peut-être que je leur dise comment faire ?
 
Bonne réflexion à tous.

Après le refus d'entrée sécurisée,
après le refus d'autorisation de passage sur le parking voisin,
que va t'on m'opposer ?
Je m'attends à des tracasseries pour la démolition du porche.
A bientôt Pour la présentation des autres soucis avec la commune. :
Mur d'enceinte partiellement détruit par un arbre sur le trottoir.
Seuil de l'entrée piétonne de la parcelle AK 219 enterré.
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« La SAGA continue »

Préparation > Administratif Par Paddos le 01/03/2018 à 15h53
Bonjour à tous,
La saga continue exactement comme je vous l’avais prédit.
J’ai reçu ce jour, 01/03/2018 un courrier recommandé me demandant des pièces complémentaires.
 Dossier déclaré incomplet avec liste des pièces manquantes farfelue.


 
Je savais qu’on me chercherait la petite bête, je vous l’avais dit. Pour cette raison, je n’ai donc pas prévu la réalisation d’un SAS d’entrée sur lequel il est trop facile de trouver des futilités de refus (hauteur, cotes, couleurs, …).
Ce sera la prochaine épreuve.
C’est aussi pour cela que la mairie ne m’oppose que des justifications farfelues.
La pièce DP5 est à fournir en cas de construction pour la représenter.
Il n’y a aucune construction donc cette pièce est injustifiée.
Le projet ne porte pas sur une construction, il ne nécessite aucune autre pièce.

 

 
La pièce DP11 est à fournir pour indiquer les matériaux utilisés ; comme il n’y a pas de construction, il n’y a pas de matériaux, pas de restauration, pas de présence d’un périmètre historique, rien de rien.
Je n’ai rien à fournir.
La pièce DP11 est injustifiée.
<br />
Il ne s'agit pas d'une construction, encore moins d'une habitation, d'une restauration immobilière, ...


 
Comme l’indiquent les explications de la page 4/15, il n’y a pas emploi de matériaux mais seulement de la matière enlevée.
Le projet est clairement détaillé concernant une clôture.
<br />
On ne fait qu'enlever des matériaux.

En plus du descriptif ci-dessus,
j’ai tout de même fourni le plan de situation
[url=https://www.forumconstruire.com/photos/viewer-pid_1644984.php][/url]Plan de situation de la déclaration des travaux.



Le plan avant travaux,
Le plan avant suppression du porche.
<br />
Il est fourni.


 
Le plan après travaux
L'accès existant, le porche empêche l'accès.
<br />
Il sera démoli et le passage sera agrandi à 5 m.


 
Accompagnés de la photographie situant les enlèvements de matière.
Le porche va être complétement détruit entre les lignes bleues pour permettre le passage des engins de chantier.


 
Difficile de représenter après démolition avant d’avoir réalisé la démolition. Je ne suis pas magicien ou illusionniste.
 
La déclaration relative au calcul des impositions est une demande aussi farfelue que les autres, les travaux ne s’appliquent pas à une habitation mais à une clôture, cela ne peut avoir aucune incidence sur la fiscalité.
Une pièce obligatoire pour déclarer des travaux.
<br />
Elle est fournie.


 
Il ne s’agit pas d’une demande de permis de construite mais d’une déclaration de travaux sur une clôture constituée de pierres sèches et d'un portail en bois.
 
Je rappelle à ceux qui n’ont pas tout lu que :
J’ai demandé à la mairie avant établissement des plans de la construction de pouvoir accéder par le parking voisin avant qu’il ne soit réalisé ; demande restée sans réponse.

Que j’ai demandé à la mairie avant la demande de permis de construire la possibilité de réaliser une nouvelle entrée hyper-sécurisée sur le boulevard ; demande acceptée par écrit puis refusée oralement à la fin du délai d’étude du P.C..

Que j’ai fourni un permis modifié à temps pour accéder de plein droit par le porche à mon futur domicile ; Le porche a 131 ans et les problèmes de sécurité non formalisés clairement résultent des modifications irréfléchies de la mairie.

Que j’ai demandé une permission de voirie pour accéder le temps des travaux par le parking voisin pour ne pas démolir le porche; Permission refusée.

Que j’ai fait une déclaration de travaux concernant la suppression de porche ; La mairie qui cherche à organiser l’enclavement (blocage des travaux de construction) de ma parcelle me demande des pièces complémentaires injustifiées qu'il est impossible de fournir.
 
Les caprices et harcèlement de la mairie s’expliquent par le fait qu’ils se sont rendu compte trop tard que ma proposition d’accès par le parking voisin était une idée géniale qui aurait pu leur faire économiser le coût des aménagements sur le boulevard. En organisant l'enclave de mon terrain, ils espèrent m'obliger, jusqu'à l'utilisation du zèle, l'attitude idiote de demande de pièces injustifiées, la mauvaise foi, ... à passer là où ils m'ont mis des obstacles hors d'atteinte de mon budget.
[color=#111111]Une autre réalité, c'est qu'on veut me faire payer l'annulation d'un compromis de vente de mon oncle en 2004, mon intervention pour conserver le statut de terrain constructible au PLU en 2013 et mon refus de vendre mes parcelles par la suite.[/color]
Je décrirai ces évènements dans le détail plus tard, vous comprendrez mieux l'acharnement de la mairie et son implication dans ces affaires.

Mon refus s’explique par le fait que la construction n’a pas été configurée avec un accès par l’arrière et le coût exorbitant d’une rampe qui ne peut plus être conforme à celle que je proposais en raison du niveau du remblai du parking.

La solution est toute simple pour redonner le caractère sécurisé à l’accès aux usagers de l’école en face, il suffit de prendre en compte la présence nouvelle du parking récemment réalisé et faire les aménagements en conséquence.
C’est tout bête et je refuse de fournir la solution et les moyens financiers.

Conclusion, le nouveau coup tordu de la mairie est :
Bête et Méchant.


Je fais donc appel aux lecteurs pour qu’ils me donnent leur avis face à l’attitude de ces services bureaucratiques qui réclament des pièces injustifiées alors que celles présentées décrivent très clairement les travaux qui ne portent que sur la démolition partielle d’une clôture qui m’appartient.
Dites moi si vous n’avez pas compris les travaux que je déclare.
Dites moi comment je pourrais fournir un document qui représente ce que j’enlève une fois que je l’ai enlevé.
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Bonjour aux lecteurs,
 
Je place un extrait de ma demande de permission de voirie pour que chacun comprenne la réponse de la mairie.
Ci-dessous la demande
 Demande de permission de voirie, ce devait être une formalité à croire le directeur des services techniques de Privas.

 
Une présentation du lieu :
 L'accès provisoire demandé ne peut se faire que là.
<br />
La permission de voirie a été refusée pour information insuffisante.
[color=#000000][size=3] 
[/size][/color]
La voiture rouge est sur ma parcelle.
Au premier plan, le parking réalisé courant 2017.
Entre les deux, la clôture dont les piquets ont été arrachés lors des travaux du parking.
Je me suis contenté de tirer le grillage pour tester le passage d’un véhicule.
C’est le seul endroit praticable pour accéder en voiture.
Partout ailleurs, le dénivelé empêche le passage.
C’est ce passage que Monsieur le Maire me demande de refermer dans un courrier présenté plus haut ; alors que cette ouverture est le résultat de l’arrachage que ses travaux ont occasionné.
Rappel :
 La demande du Maire de Privas de refermer la clôture qu'il m'a détruite.
<br />
C'est tout de même gonflé.

 
A la vue de la configuration du terrain, difficile de justifier le refus ci-dessous,
qui impose un accès définitif alors qu'un accès provisoire est demandé.

 Le refus de la ville de Privas de me permettre l'accès provisoire par le parking.
<br />
Motif : information insuffisante.
<br />
En réalité l'organisation d'un enclavement de ma parcelle pour imposer un autre passage ruineux pour ma pomme.

 
l’unique passage provisoire possible fait l’objet d’un courrier du maire et la demande zélée de détails du directeur des services techniques qui connaît parfaitement le lieu, révèle la volonté de nuire.
 

Il cherche simplement à m’imposer un passage définitif là où une pente dont j’ai déjà parlée ne me serait d’aucun confort et son coût serait énorme. De plus, l’accès qu’il exige gênerait la réalisation de la tranchée des eaux usées donc celle-ci doit être faite avant, mais, sans accès provisoire, c’est impossible.
C’est une pression par chantage qui s’exerce.
L’objectif de tout cela, c’est bien indirectement de m’interdire l’accès historique par le porche.
D’où l’organisation de l’enclavement de ma parcelle ce qui est répréhensible sur le plan légal.


La barrière installée récemment courre tout le long de ma limite.
<br />
Une entrée sécurisée dans cette zone a été acceptée puis refusée.



 
Je tiens à rappeler que des solutions qui incombent à la mairie existent.
L’une pourrait par exemple consister à réaliser un passage clouté juste après l’entrée du parking avec le même feu tricolore déplacé en conséquence. Et pour encore plus assurer, créer une sortie séparée de l’entrée pour le parking.
Là, il faudra faire une petite rampe supplémentaire mais certainement pas aussi couteuse que celle qu’il veut m’imposer.
Il n’y aurait plus de croisements de flux piétons et automobile incontrôlés donc la sécurité serait pleinement assurée.
La distance à parcourir pour les usagés du parking pour se rendre à l’école serait la même.
Ma sortie par le porche ne présenterait plus le moindre risque pour eux.
 La barrière installée laisse un passage limité que l'on veut m'interdire.
<br />
Le passage protégé à droite pourrait être déplacé près du parking.


 
Je ne prétends pas être un spécialiste de voirie mais que ce soit pour le parking où l’aménagement sécuritaire le long des deux limites communes avec le domaine public, un échange de voisinage aurait au moins dû être initié sur la configuration et les modalités d’autant plus que je l’avais demandé et que j’avais annoncé mon projet de construction dès le début avril complété par des courriers (à ce moment là, évoquer l’accès par le futur parking avec le directeur des services techniques faisait l’objet d’un rejet).
Rappel : recherche du débat dès le début avril 2017; choix de construction fait fin juin.

Le courrier électronique envoyé au service d'urbanisme pour demander une réflexion sur les travaux à envisager avant l'étude du projet de construction.


 [color=#000000][size=3] [/size][/color]
Il existe certainement d’autres solutions mais il faudrait réfléchir un peu. C’est trop demander !
 
Les barrières installées le long de ma parcelle n’avaient aucune raison d’être ; de l’autre coté du boulevard, des places de stationnement protègent le trottoir.
 
Tout cela explique ma demande de travaux pour démolir le porche,
suivi des demandes abusives de documents et
le recours auprès de la responsable d’urbanisme de Privas ci-dessous :

 Courrier électronique au service urbanisme de Privas pour modifier la demande de documents réclamés.

[color=#000000][size=3] 
[/size][/color]
A bientôt pour la suite.
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Paddos Picto info Auteur du sujet
Super bloggeur Env. 100 message Meuse
Bonjour,

J'ai été entendu, les documents ne me sont bien sûr plus réclamés injustement.
cette constatation annule normalement la prolongation du délai de recours de la Mairie qui coure de nouveau à partir du 15/02/2018, date de dépôt de la déclaration préalable de travaux.

Article R*423-19
Le délai d'instruction court à compter de la réception en mairie d'un dossier complet.

L'opposition de la Mairie se base maintenant sur la sécurité des usagers de l'école qui passent devant mon porche.
Est ce le temps des travaux ou continuellement ? La motivation n'est pas claire à ce sujet.
De toute façon, mon droit d'accès par ce porche est inattaquable. Par contre l'accès lui-même présente un danger parce qu'il m'impose que mon véhicule dépasse sur la voie publique pendant que j'ouvre les portes du Porche qui ne peuvent être motorisées en raison de leur poids, leur prise aux vents et de leur conception.
Cela impose donc la démolition pour des raisons de sécurité. Et c'est au nom de la sécurité que l'on me l'interdit.
Je vous laisse le soin de faire les commentaires.

Cette nouvelle opposition de la Mairie est datée du 26/03/2018 alors que le délai de recours est de 1 mois pour une déclaration préalable. Le délai est dépassé.

Pour bien saisir les raisons de mon obstination, je vous présente ci-dessous des explications qui démontrent que la sécurité peut être renforcée à peu de frais par les responsables des services techniques qui dès lors qu'un nouveau parking voyait le jour pouvaient envisager des solutions avantageuses pour sécuriser et améliorer les conditions des usagers.

Une analyse des problèmes, ça aide.
En bleu, le parcours actuel, dangereux.
<br />
En vert, la solution peu couteuse et sécurisée.
Un peu de bon sens !


Je ne prétends pas détenir toute la vérité, d'autres solutions existent certainement, il faut que la ville les recherche.



Ce n'est pas à moi de les étudier, mais je fais un effort de réflexion parce que mon accès gêne tout d'un coup.





Je déclare que mon accès était là il y a plus de 130 ans que la gêne est survenue avec la création du boulevard, de l'école et maintenant du parking. Je n'ai pas à financer les carences des études qui ont négligé l'existence de mes biens. Je n'ai donc pas à subir ou financer un accès horriblement handicapant et couteux pour moi.



Des solutions simples existent, beaucoup moins couteuses, j'en présente une qui prouve que je n'ai pas à subir la moindre responsabilité dans les risques que l'on me reproche.

Les solutions, il faut vouloir les rechercher.

Une réflexion globale, des solutions simples.

On peut faire mieux et dans les normes.
Pour voir l'application au terrain, je remets la photo satellite ci-dessous :
Les seuls travaux à réaliser :
<br />
Un passage protégé par un feu tricolore,
<br />
Une sortie indépendante de parking,
<br />
Un escalier d'accès. (facultatif).
Toutes les remarques peuvent s'avérer constructives.
Toutes les infrastructures sont en place,
<br />
Le porche ne présente aucun risque.
J'aimerais saluer les collègues enseignants qui méritent ce que je propose comme solution.
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Super bloggeur Env. 100 message Meuse
En attendant le démarrage du chantier si un jour c'est possible,
je n'ai aucune raison de me rendre à Privas.
Je salue donc mes voisins immédiats à qui j'ai promis la remise en état du muret en pierre sèche.
Je continuerai bientôt le nettoyage du terrain en espérant que les sangliers ne reviennent pas tout saccager.
Faut-il préférer un sanglier à un voyou administratif ?

Je précise que l'adresse (URL) de ce sujet est placardée sur le portail du porche.
Chacun peut donner son avis sous le couvert d'un pseudo.

Vous avez le droit de penser différemment et me présenter vos arguments.
Vous pouvez aussi m'appuyer et me le faire savoir.
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Bonjour à tous,

J’ai rencontré 4 représentants de la mairie de Privas le vendredi 27 avril à 8h30.
Le coordinateur gros œuvre de MDC était également là dans le but de piqueter la zone de construction.
Le responsable du service technique a commencé par dire qu’il n‘avait rien contre nous ; il n’en fallait pas plus pour me provoquer, c’est quelqu’un qui a l’habitude de dire le contraire de ce qu’il pense.
J’ai eu à faire à des milliers de personnes dans le cadre de mon travail et je suis très observateur des attitudes des gens à qui j’ai affaire.

Ce responsable n’a aucun argument pour justifier que les usagers de l’école passent obligatoirement devant mon portail et soient en soi-disant situation de danger à  ce moment là ; c’est pourtant le problème de sécurité évoqué pour m’empêcher de passer sous mon porche. Bien que cela n’ait jamais été évoqué par écrit, c’est bien la circulation des piétons et ma sortie de chez moi qui chagrine ces personnes.
Les usagers du parking sont obligés de croiser les véhicules qui entrent et sortent pour communiquer avec le passage entre mon mur et le garde corps. Ils passent, plus loin, devant mon porche.


D’où le travail de réflexion présenté en images dans les chapitres précédents.
Il faut donc interdire des centaines d’entrées de garage dans Privas. L’écrire, c’était révéler la légèreté de la justification d’où, le manque de précisions dans les refus.
Par contre à l’évocation du risque qu’il fait courir aux usagers qui empruntent et croisent à pied le flux des voitures entrantes et sortantes sur le parking, là, il n’y a plus de risque, par enchantement.
L’emplacement que j’avais préparé pour l’accès aux engins de chantier m’a été refusé parce que trop dangereux en raison de sa proximité (6 à 10 m) avec l’entrée des véhicules.
Pourtant ce n’est pas dangereux pour les piétons qui la coupent à 1 m.

L'entrée initiale (barrières) est déplacée de seulement quelques mètres (bande Ferrari)
<br />
Pourquoi ne pas le proposer dans le refus écrit ?


Au final, il exige que j’accède à 6 ou 7 m de l’endroit initialement prévu. A l’endroit même où les usagers se garent et face à la ligne centrale de une ou deux rangées de véhicules qui seront garés.
Cela posera des problèmes d’accès aux heures d’entrée-sortie de l’école.

La moindre des choses, ç’aurait été de dire que c’était ça le problème au lieu de retarder le début des travaux de plusieurs mois.
Là, j’ai vu rouge et j’ai arrêté toute discussion avec cet énergumène capricieux et de mauvaise foi.

Le coordinateur gros œuvre m’a fait savoir que cela ne le dérangerait pas d’utiliser cette dernière solution, J’ai donc préparé le passage l’après midi même en arrachant la clôture, débroussaillant les 2 m en largeur de buissons épineux et ronces qui protégeaient efficacement le grillage et j’ai nivelé  l’entrée qui n’était qu’un monticule laissé par les engins qui ont fait le parking public.
Le peu de clôture qui reste encore debout est maintenant très restreint.

Je m’attends bien sûr à d’autres tracasseries.
Pour ces raisons, devant le refus de démolir le porche, j’ai transmis un recours gracieux auprès du Tribunal Administratif de Grenoble le 9 avril 2018.
Je viens de recevoir une réponse, pour Privas, c’est du ressort du TA de Lyon, alors pourquoi l’arrêté d’opposition de la mairie indique t-il le TA de Grenoble comme recours ?
C’est donc au tour du TA de Lyon de trancher.

La responsable d’urbanisme de Privas me reproche de ne pas chercher le débat avant de m’adresser au tribunal.
Tout simplement parce que leurs arguments ne sont jamais clairement exprimés, n’ont aucune consistante technique, ne s’appuie sur aucun écrit ni plan et résultent d’une improvisation continue, des affirmations injustifiées qui ne prennent nullement en compte mes droits.

Mes arguments sont écrits, imagés, techniquement justifiés, historiques et logiques, mais je ne suis pas écouté.
La discussion n’est pas possible avec des services qui, s’ils ne cherchent pas systématiquement à nuire, ont certainement une bonne raison pour agir ainsi.

Après des rencontres avec de nombreux habitants de Privas, je commence à entrevoir une vraie raison. Un retraité ça travaille 2 fois moins vite mais ça discute !
D’après eux, mais ce n’est que des avis non vérifiés, la ville serait endettée au point de chercher par tous les moyens à réduire les dépenses après des investissements trop lourds.
Et la mise en insécurité des usagers de l’école découlerait directement de la volonté de dépenser moins.


D’où le transfert des dépenses sur un pigeon qui serait dans l’obligation de réaliser à ses frais une route en pente pour sortir de chez lui, à qui l’on impose des clauses abusives illégales au moment de l’attribution du permis de construire, et on fera le maximum pour le gêner,

La clause encadrée en vert n'est pas indiquée sur le PC d'origine.
<br />
Elle apparait sur le PC modificatif et n'a rien à voir avec la construction.
<br />
Elle n'est d?ailleurs pas clairement motivée. (évocation évasive de sécurité)


on lui interdit la réalisation d’une entrée sécurisée, l’agrandissement du passage existant, on lui colle des barrières physiques, on lui refuse la permission de voirie, …

Pour entrer, en venant de droite, cela peut passer mais lentement.
<br />
Pour sortir, le rayon de braquage m'oblige à monter sur la bordure centrale ou à manoeuvrer sur la voie de circulation.


Je sors de chez moi, je dois choisir, la barrière ou la bordure centrale ?
<br />
Je manoeuvre au milieu du boulevard.


L’étude a été tellement minutieuse que les usagers ne pouvaient entrer sur le parking sans risquer de percuter ceux qui sortaient. La raison, un panneau de garde corps en trop, cela montre bien l’improvisation plutôt que de procéder à l’étude technique sur un plan avec des rayons de braquage d’un véhicule type en référence.

La même erreur avait été commise à l'entrée du parking.
<br />
Le rond bleu indique le pied d'un panneau du garde corps qui a été enlevé.


Que dire de l’accès aux normes PMR obligatoire depuis 2015 reporté pour les anciennes installations.
Là, c’est du neuf.
Une personne à mobilité réduite doit emprunter une pente à pied au milieu des véhicules entrant et sortant quand elle sort du parking.
Réponse du responsable : « où voulez-vous que je fasse une rampe d’accès ? Il aurait fallu que je fasse le parking plus haut ou que la pente soit plus longue donc moins de place sur le parking. »

Les normes PMR dans le neuf imposent une pente maxi <5% si plus de 2 m de long.
<br />
Là, on est à plus de 15% sur 3m, bravo !


Phénoménal, ce responsable ne connaît que la ligne de plus grande pente c’est sûr qu’il doit attaquer les montagnes de front.
Il existe pourtant une zone non utilisée qui aurait pu être mise à profit pour l’accès piéton et qui aurait été aux normes PMR.
Il suffit de constater la zone en terre où l’herbe pousse.

Au fond du parking, une sortie pour les voitures directement sur le boulevard en forme de voie d’engagement n’aurait pas couté très cher mais aurait constitué une sécurisation immense pour les piétons. C’est ce que j’expliquais dans les solutions présentées depuis longtemps.
On m’a répondu que ça couterait cher ; combien ? Certainement moins que la route que l’on voulait me faire prendre en charge avec une pente > à 7% non respectueuse des normes PMR donc inutilisable à cette fin.

Il y a largement la place pour réaliser une rampe PMR à moindre frais de 12 m, Environ 4%.
<br />
Et en même temps en plus de l'entrée à gauche, un escalier pour les valides et une sortie voitures à droite.
<br />
Mais là, on ne pouvait plus embêter le voisin !



L’école est juste en face, une fois le boulevard traversé, on peut tenir le même raisonnement pour y parvenir beaucoup plus rapidement et au plus court, en respectant les mêmes normes.
Pourtant, l’argument du responsable pour obliger les usagers à passer devant mon porche, « j’ai choisi le chemin le plus court ! »
Vous voyez, je ne peux vraiment pas discuter avec la mairie.

On peut dire que l’on m’a mis la pression et, chez moi, la meilleure défense c’est l’attaque.

Je vais donc, dans les jours qui viennent, entamer des démarches pour me permettre un accès plus aisé chez moi.
Avant même de connaître la décision du TA de Lyon, je vais demander la suppression d’une partie du garde corps qui m’empêche de sortir sans monter sur la bordure centrale du boulevard.
Je pense qu’il ‘y aura pas débat, là non plus.
Il y  a de fortes chances que j’essuie un refus, je vais donc préparer un autre recours auprès du TA de Lyon pour obtenir de sortir sans avoir à réaliser des manœuvres risquées sur une voie de circulation.
Je vais également préparer des recours pour chacune des dégradations évoquées avec les responsables et dont ils se foutent royalement (arbre qui détruit mon mur d’enceinte et remblais sans mur de soutènement qui a couché ma clôture le long du parking).

La construction aurait dû commencer le 25 janvier (3 mois après la réalisation des conditions suspensives).
Je sais que c’est cette date du 25/01 qui sera maintenant retenue et non la DOC pour le départ du délai contractuel de construction s’il devait y avoir du grabuge, mais je n’ai pas envie de bousculer tout le mode au risque d’avoir un boulot mal fait. Et j’ai la chance d’être retraité et de posséder un toit en attendant.
J’espère que je ne connaîtrai pas les déboires de nombreux forumeur quand à la qualité.
Mon fils devrait être dans sa maison neuve depuis octobre 2017.
Il n’y a que les murs, le toit et les fenêtres, il stagne avec sa femme et ses 2 enfants (2 et 4 ans) dans un 50 m² au troisième étage sans ascenseur.
C’est bourré de malfaçons et le constructeur a fait faillite et repart avec les mêmes personnes sous un autre nom pour effacer ses dettes.
Y a de quoi se faire du mouron dans le Bâtiment.

Je plains ceux qui commencent comme moi et poursuivent dans la chienlit.
Ça fout vraiment la trouille de construire pour la première fois et c’est peut-être pire pour la deuxième.

Désolé de pourrir le forum avec tous ces truc administratifs mais normalement, la construction va démarrer en mai.

Preuve d'un futur démarrage, la bande Ferrari.
<br />
Vue  vers le nord sur l'autre versant du ruisseau de Paste.



Une note d’optimisme, le printemps est là avec le ciel bleu, les lézards, les papillons…

C'est beau la nature.
<br />
L'année dernière j'ai passé la semaine à Privas avec un scorpion noir de 7 à 8 cm dans la chambre.
<br />
Depuis, ma femme en voit partout.


Un papillon magnifique, le Flambé.
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Paddos Picto info Auteur du sujet
Super bloggeur Env. 100 message Meuse
Bonjour,
 
voici ma réponse illustrée au responsable technique qui ne sait pas où réaliser une rampe d'accès au parking tout neuf.
Pourtant obligatoire dans les travaux neufs, ce détail est totalement ignoré. Pourquoi ?
Travaux neufs du parking,
<br />
Le responsable : où voulez-vous que je fasse une rampe d'accès ?
<br />
Ma réponse en illustration avec séparation des flux = sécurité.

Les usagers ne seraient plus passés devant mon porche, ils ne croiseraient plus les véhicules entrants ni sortants puisqu'ils traverseraient le boulevard au niveau du panneau miroir (mal réglé) avec un passage protégé par un feu et des coussins berlinois.
 
La visibilité serait la même qu'à l'autre passage protégé. Les feux des 2 passages protégés peuvent fonctionner ensemble (environ 30 m entre les deux) pour une même fluidité du trafic.
Le trottoir opposé reste protégé de tout autre flux.

Les seuls travaux à réaliser :
<br />
Un passage protégé par un feu tricolore,
<br />
Une sortie indépendante de parking,
<br />
Un <a href=escalier d'accès. (facultatif)." photo_id="1657709" recit="" recit_id="" auteur_id="" auteur="" />

[font=Calibri","sans-serif]Une rampe pouvait être aménagée ensuite pour les PMR pour atteindre l'école en face comme je l'ai décrit précédemment.
Toutes les infrastructures sont en place,
<br />
Le porche ne présente aucun risque.

Un escalier droit ou oblique à partir du panneau miroir permettrait un accès directe à l'école pour les valides.
 
Plus court la solution retenue ? vous êtes sûr ??
 
Moins chère ? Certainement mais pas sûr !! Parce qu'elle est improvisée et non raisonnée.
 
Autoritaires les décisions ? Qui prend son pied pour jouer au petit chef et imposer des investissements privés ?? Vous ne croyez pas que le voisin (moi), premier concerné, demandeur d'un entretien dès avril 2017 pouvait avoir des idées intéressantes ou aurait pu adapter sa construction avant des choix définitifs pour optimiser ses accès en fonction des paramètres du parking dont je n'ai jamais vu le moindre affichage de travaux ni le moindre plan.
C'est le cas typique du "moi je fais ce que je veux, les voisins je m'en fous"
 
Au nom de la sécurité ? Le parcours actuel impose aux piétons de croiser 2 fois de plus le flux des véhicules, l'entrée du parking et devant mon porche.
Le risque de passer devant le porche est retenu mais celui qu'un enfant peut être renversé par un véhicule entrant ou sortant est farouchement nié par toute l'équipe communale.
 
On a fait l'économie de la sécurité et l'on veut me faire endosser le risque encouru pour prétexter une interdiction d'utilisation de mon entrée existante séculaire.
 
On m'a interdit une sortie ultra-sécurisée (4ème photo de ce récit) pour une très mauvaise raison.

Le plan de masse :
<br />
Un portail sous porche existe déjà mais son accès représente un danger sur le boulevard. Sa hauteur de passage est limitée.
<br />
Une nouvelle entrée sécurisée sera créée qui permettra le stationnement de courte durée sans empiéter sur la  voie publique.

On a ancré un garde-corps tout le long du boulevard  pour interdire le stationnement mais surtout m'obliger à faire des manœuvres dangereuses sur celui-ci et pouvoir me dire : "vous serez responsable en cas d'accident, on vous aura prévenu". Au fait combien ça coûte un garde corps mal étudié qu'il faut raccourcir aux 2 bouts ??

La barrière installée récemment courre tout le long de ma limite.
<br />
Une entrée sécurisée dans cette zone a été acceptée puis refusée.

Et on m'impose une route à faire pour contourner inutilement un dispositif inefficace et inadapté.
Une sortie sur un parking avec une pente à 7% qui serait continuellement obstruée aux heures de pointe parce que les gens n'ont pas le temps de chercher et qu'il faut respecter l'horaire d'entrée de l'école, aller au boulot, faire manger les petits ou faire les courses avant de rentrer au bercail. Mes voisins ont connu ce problème pendant longtemps.
 
Et pour couronner le tout, on me refuse une permission de voirie et un élargissement de l'entrée pour mettre ma parcelle en situation d'enclavement.
 
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« Histoire de la Parcelle : »

Préparation > Administratif Par Paddos le 14/05/2018 à 11h39
Bonjour,
 
Voici quelques informations historiques sur le terrain où je projette de construire.
Elles n’apportent rien si ce n’est que des précisions sur le contexte qui peut expliquer l’attitude de la mairie.
Je n’apporte pas les preuves des faits, mais si les responsables de ForumConstruire le souhaitent, je les tiens à leur disposition.
Il n’est pas question de faire le procès de qui que ce soit, simplement aider à la compréhension.
Sans illustration, cette description est ennuyeuse et ajouter des photos d’écrits n’arrangera rien.
 
Cette parcelle appartenait à mon oncle depuis le milieu du siècle dernier.
Il en avait lui-même hérité de sa famille.
A ses obsèques, début mars 2005, j’apprends par son tuteur que cette parcelle nous revient à mes frères et sœur et moi-même.
Ma sœur l’avait sollicité pour acquérir auprès de lui cette vieille baraque de vignes de 40 m² Mais il ne souhaitait pas s’en séparer.
Il a toujours refusé de vendre à quiconque, attaché aux projets qui avaient muri avec sa femme malheureusement décédée depuis des décennies.
Il n’a pas d’enfants, mes frères et sœur ne souhaitent plus récupérer un bien si éloigné géographiquement de chez nous.
A cette époque j’ai une fille qui travaille à Toulouse-Blagnac dans l’aéronautique. Je partage avec elle, cette passion aéronautique, un métier, et une activité sportive.
Je me porte volontaire pour reprendre ce terrain qui me rapprochera d’elle, ce qui arrange tout le monde, l’état étant le plus gourmand sur l’héritage (60%).
 
En 2004, mon oncle avait plus de 93 ans, atteint de la maladie d’Alzheimer depuis plusieurs années.
En phase terminale, il vit à Paris dans un appartement avec 2 femmes colocataires.
Le 11/11/2004, un compromis de vente de cette parcelle est signé par mon oncle en présence des 2 colocataires comme témoins, sans notaire, à un prix de misère.
Le 28/11/2004, il est admis à l’hôpital, le même jour l’un des témoins imite sa signature pour prélever sur son compte plusieurs milliers d’€ au bénéfice du témoin pour la nourriture du chat, la location de voiture, ….(3 ou 4 chèques émis)
Le 02/12/2004 l’autre témoin décède (surement de mort naturelle).
Le 09/12/2004 un certificat médical établit le besoin de placement de mon oncle sous protection par la justice.
Le 28/12/2004 une ordonnance de justice initie la procédure de placement.
Le 12/01/2005 Une ordonnance de justice le place sous protection d’un mandataire spécial et révoque toutes ses signatures antérieures.
La vente ne sera jamais effective, le décès survient quelques jours après.
Le témoin restant a été condamné à restituer les sommes volées, aucune enquête pénale n’a été initiée.
Je n’ai été informé de ces évènements qu’après le décès par le mandataire spécial.
Comment le notaire d’un acheteur de bien immobilier peut il établir un compromis de vente pour celui-ci en acceptant que le vendeur, âgé de 93 ans, ne soit jamais vu par lui-même ou un autre notaire ?
Les règles déontologiques sont mises à mal.
Que des témoins, non agréés, soient requis sans le moindre contrôle, c’est la porte ouverte à tous les abus imaginables.
En réalité, je pense que des notaires ont eu vent de cette ********* qui arrangeait tout le monde puisque le vendeur n’était pas en état de se plaindre.
Des documents en ma possession prouvent que des personnes assermentées cachent des courriers liés à cette affaire.
Les responsables directs ou indirects ne sont pas tous désignés parce qu’aucune enquête officielle n’a encore été menée.
Une chose est sûre, des responsables notables ont déjà du souci individuel à se faire quand aux responsabilités, collectives pour le moment.
Mais la justice est en droit d’exiger la présentation de certains documents dont on m’a refusé l’accès.
 
L’acquéreur, d’une localité voisine de Privas, a toujours maintenu son compromis.
Il a pris des initiatives comme requérir à des témoins sans passer par son notaire.
Il avait fait établir un certificat d’urbanisme avec la position d’une maison à  construire.
 Une photo du 16/09/2005 Montre le piquetage réalisé par la commune avant la vente effective.


Il acceptait la préemption par la mairie d’une partie de la parcelle pour en faire un parking.
Une photo du 16/09/2005 Montre le piquetage réalisé par la commune avant la vente effective.


Le parking avait été piqueté en ce sens.
Les responsables des services de la mairie concernés à cette époque sont ils les mêmes qu’aujourd’hui ? Je réponds OUI en grande partie.
 
J’ai bien sûr réuni tous les témoignages qui confirment tour à tour que mon oncle vivait depuis des mois, voire des années, dans une autre époque avec d’importantes difficultés, de nombreux séjours à l’hôpital et des problèmes comportementaux. Il ne pouvait plus lire, écrire, entendre, se déplacer, se nourrir, encore moins gérer ses biens. Il était suivi journellement par des infirmiers et sous traitement médical incapacitant.
Malgré la fourniture de certains de ces documents, l’acquéreur continue de maintenir le compromis de vente sans toutefois faire appel à la justice pour le finaliser.
Il s’est encore manifesté quand il a vu l’affichage du permis de construire, sans but précis, en me faisant savoir qu’il demandait à voir le PC à la mairie.
Il est même venu sur le parking voisin pour se faire rappeler à mon bon souvenir.
 
En 2012 la ville a tenté de faire passer mes parcelles du statut de constructible à zone à urbaniser.
Mon intervention auprès du commissaire enquêteur a réduit cette situation à une seule parcelle puis la totalité a été maintenue constructive par une autorité supérieure contre l’avis du conseil municipal.
Le PLU, approuvé en 2013, maintenait la situation comme je l’avais souhaité.
La mairie de Privas m’a proposé en 2013 puis 2015 d’acheter ma parcelle, ce que j’ai toujours refusé.
J’avais un projet d’aménagement de la vieille baraque de vigne dès 2005 pour finaliser le projet de mon oncle et me rapprocher de ma fille. Elle est malheureusement décédée fin 2006 dans un accident de la route. Pour elle, tous les projets que nous avions en commun aboutiront, certains me comprendront.
 
On comprend mieux, à la lecture de ces informations, l’attitude de la ville à mon égard, cela peut expliquer un esprit revanchard qui fait dire à certains responsables que ma sortie par le porche est dangereuse, sans même décrire précisément de quel type de danger il est question, ni prendre conscience que le danger, sous entendu, a été induit par la ville elle-même qui n‘a pas réfléchi à d’autres solutions possibles. La mise en place de tracasseries et contraintes de plus en plus gênantes vise à me faire renoncer à mon projet, il m’en reste à décrire, ce qui sera bientôt fait.
Les solutions présentées précédemment prouvent que les justifications sont de pures inventions.
J’ai invité la ville de Privas à apporter des précisions sur la description des dangers et à apporter les corrections qui s’imposent dans les structures.
Sinon, il ne sert à rien de me chatouiller, on risque d’induire des réactions incontrôlables une fois que des services officiels seront saisis.
 
Le harcèlement administratif est maintenant flagrant. A mes multiples courriers privés ou officiels, il n’est jamais répondu par écrit de façon motivée pour s’opposer aux projets.
Seule une vague « sécurité publique » est évoquée. L’atteinte à la sécurité n’est pas établie. C’est la même chose pour ajouter des clauses aux PC. La ville a une obligation de motivation.
Pourtant obligation est faite aux services de motiver « « précisément » » les clauses ou refus des documents officiels et de répondre officiellement par écrit et non par une simple information orale.
Attendre la fin de délai pour mettre la pression sur les demandeurs est là aussi une pratique courante.
Cela intéressera hautement la commission gouvernementale qui a en charge l’étude de la révision des procédures d’obtention des PC, permission de voirie et déclarations de travaux.
 
En effet, la loi Macron (article 108) est déjà venue modifier ainsi l’article L 424-3 du Code de l’urbanisme :
« Lorsque la décision rejette la demande ou s'oppose à la déclaration préalable, elle doit être motivée.
Cette motivation doit indiquer l'intégralité des motifs justifiant la décision de rejet ou d'opposition, notamment l'ensemble des absences de conformité des travaux aux dispositions législatives et réglementaires [...] »
Dorénavant, la commune doit indiquer de manière explicite l’ensemble des motifs de refus de l’autorisation d’urbanisme.
La commune est alors tenue par les motifs qu’elle a opposés, et ne peut en invoquer d’autres.
 
Que les responsables des services de la mairie qui engendrent par la négligence de leurs obligations, des retards dans la réalisation des travaux, sachent qu’ils risquent d’être tenus pour responsables dans le dépassement des délais de construction inscrits aux CCMI si leurs refus d’accorder les demandes officielles ne sont pas motivées avec la précision requise, en rapport avec les obligations d’urbanismes précises.
La ville de Privas décroche le pompon dans ce domaine.
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« Terrassement, fondations. »

Gros oeuvre > Terrassement Par Paddos le 04/07/2018 à 15h49
Bonjour à tous,
Après un silence de 6 semaines, j’ai d’importants changements à relater, la construction a démarré.
 
Le jeudi 24 mai dernier, j’étais en randonnée dans le massif des Vosges, coté Alsacien lorsque j’ai reçu un appel du conducteur de travaux m’annonçant le début du terrassement le lundi 28.
Mon séjour se poursuivait le vendredi dans les Vosges et dès le dimanche, je prenais la route pour l’Ardèche avec une remorque blindée d’outillage pour poursuivre l’aménagement de la parcelle et notamment réaliser la fourniture d’eau.
Depuis, j’ai passé plus de la moitié de mon temps sur le site de construction entrecoupé de court séjours à la maison.
 
Je vais donc tenter de résumer la chronologie des avancées :
 
J’étais sur la parcelle le premier le lundi 28 mai, j’étais arrivé la veille et je m’étais arrangé un petit nid avec un lit de camp dans la vieille baraque de vigne de 40 m².
Pas d’eau, pas d’électricité, beaucoup d’araignées mais de la place pour abriter tout ce dont j’avais besoin.
L'entreprise BTA



 
Le conducteur des travaux a revu les limites et avec le terrassier ont rapidement mis le matériel en action pour le terrassement.
J’aurais souhaité évoquer les VRD mais le terrassier surbooké pour le mois à venir n’a pu que se limiter à la réalisation du terrassement tout en prenant en compte mon souhait d’étudier la faisabilité d’un puits canadien si les surprises du sol le permettaient.
Ce puits canadien, à connecter à la VMC DF, c’est une option que j’envisage de réaliser moi-même si les conditions le permettent, cela dépendra de la présence de roche en profondeur sur le parcours.
Une réservation sera donc prévue pour le passage aisé d’une gaine semi-rigide de 200 mm sous les fondations.
 
J’ai donc poursuivi mon raccordement au compteur d’eau posé courant mai.
Pendant que le terrassier creuse, la fourniture en eau est installée.

 
et j’ai conçu cette réservation avec les moyens du bord pendant que les travaux commençaient.
Aucun fournisseur à Privas ne pouvant disposer en stock d’un conduit adapté à la réalisation de cette réservation, il a fallut que j’improvise.
De plus le coût de la solution suggérée par les grossistes n’était pas raisonnable avec des délais inadaptés.
La réservation bricolée doit être immobilisée et rendue résistante et au béton étanche.



Le terrassier a rapidement atteint les premières couches de roche friable, heureusement, le vide sanitaire prévu n’est que de 50 cm, un peu juste mais suffisant pour compléter avec une gaine de VMC.
Là où la roche était atteinte, c’est sous le garage et la loggia, où aucun vide sanitaire n’est prévu.
La roche est juste là

Les couches de roche friables sont décapées les unes après les autres.



Le niveau du vide sanitaire atteint, quelques traçages pour guider les tranchées à suivre.
Préparation et traçage pour creuser les fondations.

Les mesures sont prises, les diagonales sont vérifiées.

On ne le voit pas mais le conducteur de travaux est debout sur le rocher ; heureusement, la profondeur est atteinte, ici pas de vide sanitaire (garage)

Les traçages sont indispensables avant de commencer les tranchées.



Lorsqu’il a fallu creuser les fondations, la machine a été parfois mise à rude épreuve et il a fallut tout le talent du terrassier pour les réaliser en enlevant des plaques de marne de plus en plus épaisses.
Il n’a pas été nécessaire de taper dan le rocher mais à 1 m près en positionnement et quelques cm près en profondeur, il aurait fallu utiliser le brise-roche.
Ouf! la profondeur est atteinte la roche commençait à devenir consistante.



là, la roche est atteinte, la profondeur du vide sanitaire également.




Bien sûr, les tranchées n’ont pas été réalisées avec une netteté exemplaire, la roche friable se cassant de façon aléatoire mais les dimensions requises ont été atteintes avec un hors gels à 60 cm minimum et la roche atteinte pratiquement partout.[size=4][color=#000000] [/color][/size]
Les tranchées ne sont pas rectilignes à cause des roches friables qui cassent de façon aléatoire.

Mais les fondations respectent les dimensions et elles reposeront sur du solide.



Le temps était un peu menaçant mais pas de grosse pluie à déplorer.
A 18 h le terrassier pliait bagages et les tranchées commençaient à se remplir avec des pluies une partie de la nuit.
18 h, le travail est fini, le terrassier rentre, la pluie ne va pas tarder.



Il était évident que la consommation de béton allait dépasser les prévisions mais l’accrochage serait complet.[size=4][color=#000000] [/color][/size]
Il va falloir du béton pour remplir tout ça.



Le lendemain, l’équipe de maçonnerie a commencé par évacuer les déchets des fondations puis s’est attelée à réaliser leur ferraillage.
Les ferraillages sont préparés avant d'être descendus.

Les ferraillages sont descendus en position.



La réservation de fortune du puits canadien a été mise en place. Heureusement, des trésors insoupçonnés dorment dans les vieilles baraques et les ouvriers de la vigne ne carburaient pas qu’à l’eau.
Seul le diamètre 300 annelé, lui aussi récupéré, devait supporter les poussées du béton.
Pour bricoler une réservation de Puits canadien, quand les fournisseurs du coin n'ont rien à proposer, il faut se dépêcher de vider les tonneaux.



Le raccordement à l’eau a été complété avec 2 sorties, une pour les maçons et une pour moi.
Il me fallait une alimentation personnelle pour alimenter une douche solaire installée à 50 m, près de la baraque de vigne.
Détail du branchement une sortie pour les maçons, une pour la douche solaire.

La douche solaire, sans soleil, c'est la douche froide.
<br />
Avec une journée très ensoleillée, c'est la douche chaude même en ouvrant à fond le mitigeur vers l'eau froide.



Le lundi, pas de soleil donc pas de douche. Le mardi peu de soleil, donc une eau presque froide, comme l’air.
Mais ensuite j’ai pu prendre mes douches suite à des éclaircies conséquentes qui me procuraient 20 litres d’eau à 35°, pas besoin d’utiliser le mitigeur.
En faisant vite, cela suffisait.
 
L’après midi du mardi 29, la bétonnière arrivait et le remplissage commençait.
La toupie arrive.



La place ne manquait pas autour du chantier, l’implantation de la maison sur la parcelle facilitait l’accès presque tout autour.
A part là où le remblai du terrassement avait été étalé, le sol rocailleux supportait la toupie chargée.
J’avais pris soin également d’élaguer l’amandier pour supprimer les branches basses qui auraient gêné son passage.
La toupie peut se déplacer autour de la maison. Le terrain est compact
<br />
J'avais élagué les arbres trop bas.

La toupie va au plus près sans risque de s'enfoncer.

La toupie peut se déplacer autour de la maison.



Près de 19 m3 de béton ont été nécessaires.
Tout est rempli, fin du deuxième jour.

Tout est rempli, 3 toupies et 19 m3 de béton plus tard.



Le mercredi matin, les maçons sont arrivés, ils ont placé des repères.
Ils ont supervisé la réception des matériaux pour optimiser les déplacements en vue de la pose des parpaings.
La livraison des matériaux.

La livraison des matériaux.
<br />
Il faut sélectionner les emplacements.



Malheureusement, la livraison de sable a été trop tardive et devant le ciel menaçant, ils ont dû se rabattre sur un autre chantier.
La pluie est arrivée, la livraison du sable a eu du retard, les maçons sont partis sur un autre chantier.



[size=4]Le restant de la semaine, les maçons ont œuvré ailleurs, j’ai donc continué le nettoyage autour de la vieille baraque.[/size]
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« Vide Sanitaire et Murs »

Gros oeuvre > Elévation des murs - étage Par Paddos le 04/07/2018 à 16h01
 
Les maçons ont repris le chantier du 4 au 8 juin mais je n'étais pas sur place.
A mon retour le 10, j'ai trouvé le vide sanitaire réalisé et une bonne partie des murs avancée.
Le vide sanitaire est terminé, plus de 7 rangs de brique sont posés.

Le vide sanitaire est terminé, plus de 7 rangs de brique sont posés.
<br />
Un alignement impeccable, une horizontalité sans défaut.
<br />
Remarquable.


 

Le travail est remarquable :

 
Les réservations ont toutes été faites, sauf une pour une unité intérieure de PAC qui n’apparaissait pas sur le plan qu’avait le maçon.
Elle sera soit refaite avant la chape de remise à niveau, soit raccordée à une autre sortie si cela est possible.
Les réservations sont nombreuses.
<br />
Même pour le poêle à pellets, pourtant inexistant une arrivée d'air est prévue; c'est la loi qui l'impose.


 
Le premier rang de briques a été posé de niveau au mm.
 
En arrivant le 10 juin j’ai trouvé un affichage un peu déroutant, je ne pouvais pas entrer par le porche, des panneaux destinés aux engins empêchaient les manœuvres d’entrée-sortie, sans doute une petite erreur de signalisation.
L’accès se fait par le parking pour les entreprises.

Le 12 juin le Conducteur des Travaux doit passer. Quand il arrive, à un moment de la discussion, nous nous posons la question de la hauteur des murs.
Je sorts mes plans, ceux du PC et ceux de la MAP. Je lui faits la remarque que les cotes indiquées ne sont pas identiques, la première à 2,96 m la deuxième à 2,86 m.
Il prend note.


L'accès ne se fait pas par le porche, l'entrée est déjà difficile pour une berline.


 
Le 14 juin, les maçons sont revenus et ont terminé la pose des briques, les linteaux de la porte de garage et des arches de loggia.
Les coffrets de volets roulant ont tous été intégrés et les bases pour les appuis de fenêtres sont préparées.
Les linteaux sont coulés.

Les coffres de volets roulants sont intégrés.


 
L’arase au nord a été coulée.
Vue Nord-Ouest. L'arase Nord est faite.

Vue Nord-Ouest. L'arase Nord est faite.

Façade Est.



 
A 17h30, c’est l’heure du retour des maçons à la maison, ils ne viendront pas demain vendredi.
L'heure du départ pour un long Week end festif.


 
Je rentre samedi à la maison ils termineront la semaine prochaine ce qu’il reste de maçonnerie.
En attendant j’ai de l’élagage à poursuivre.
 
Un tas de branchages compressés de 4 m de haut témoigne de la densité de la végétation sur le terrain.
J’ai tricoté des ronces de 8 à 10 m de long qui atteignaient la cime des arbres.
4 m de végétaux épineux et compressés.


 
J’ai déjà transporté 30 à 40 m3 de végétaux à la déchèterie (ronces de mures, aubépines, rosiers sauvages, pruniers sauvages, et autres piquants de toutes sortes, sans compter les frênes, …).
C’était un repère à sangliers (impénétrable, plein de nourriture naturelle et de l’eau à volonté). Le voisin a eu droit à des excursions dans sa pelouse avec arrachement de mes grillages et l’écroulement de mon mur en pierre sèche.
 
Dans la semaine du 19 au 22 juin, je suis rentré chez moi pour fabriquer le caisson étanche de l a VMC DF.
J’avais déjà découpé les panneaux au mois de mai.
 Le caisson étanche de VMC 3204 x 950 x 354.
<br />
En une seule pièce, il déborde de 80 cm à l'arrière de la remorque.

Le caisson étanche de VMC 3204 x 950 x 354.
<br />
En une seule pièce, il déborde de 80 cm à l'arrière de la remorque.


 
J’ai réalisé l’assemblage directement dans la remorque ce qui m’a permis de ranger dedans la VMC et ses accessoires que j’avais commandés 15 jours avant.
Les entretoises ne sont pas positionnées au bon endroit, elles sont seulement ajustées aux cotes, elles permettront de poser des panneaux de fermeture sous le caisson aux extrémités et de fixer un panneau d'accès sur charnières aux réglages et filtres de la VMC.
(Il faut imaginer le caisson placé retourné au plafond dans le couloir)
Le bruit de la VMC ne sera pas perceptible, ses fixations reposeront sur les fermettes en ayant pris soin de disposer des appuis en caoutchouc pour stopper la transmission d’éventuelles vibrations sonores.
Les passages de gaines seront réalisés sur place pour éviter d’éventuels problèmes de positionnement.
Les gaines semi-rigides de 75 coulisseront dans des connecteurs PVC fixes par rapport au caisson, des joints assureront leur étanchéité.
J’essaierai de vous présenter tout cela en photos au moment de la réalisation de l’installation.
Pour le transport, j’ai fixé un ensemble de feux directement sur le caisson relié avec une rallonge à la prise remorque de la voiture.
 
 
 
Pendant ce temps, les maçons ont continué le montage des murs.
Les linteaux du garage et des arches de loggia ont été décoffrés, l’arase est entièrement réalisée, les aérations du Vide Sanitaire percées, tous les coffres de volets et appuis de fenêtres posés, les socles des PAC coulés avec réservation pour eaux pluviales faite dessous.
Vue Sud-Est
<br />
La loggia.

Vue entrée de garage au Sud.

Vue Nord-Ouest.

La façade Est.

Les réservations vers les eaux usées coté Ouest.
<br />
L'accès Vide Sanitaire.
<br />
Une aération.


 
L’intérieur est dégagé des débris.
L'intérieur est dégagé des débris.

L'intérieur dégagé, vers le Sud.


 
Le 26 juin j’ai acheminé le caisson et la VMC DF vers le chantier.
Pour gagner du temps et pouvoir décharger le caisson qui fait 3204 x 950 x 354 avant la nuit, j’ai pris exceptionnellement l’autoroute à péage à Vienne.
Je me suis retrouvé bloqué 2 heures dans un embouteillage à cause d’un accident. Je hais les autoroutes, payer pour perdre son temps et ne rien voir des lieux touristiques, ça m’horripile. J’ai quand même réussi à tout décharger avant la nuit.
 
 
Voici ma cabine de douche solaire improvisée que j’installe à chaque lavage.
Même si je suis en maillot de bain, un peu d’intimité, c’est préférable, nous sommes en ville et près d’une école.
La salle de bain extérieure solaire.


 
L’élagage continue, l’arrière de la baraque de vigne est réapparu, il était même disparu du cadastre, sans doute parce qu’il était entièrement végétalisé naturellement.
Le défrichage est en cours.
<br />
De vieilles constructions réapparaissent.


 
Une zone à laquelle je ne pouvais plus accéder commence à se dégager, un autre tas de branchages a dû être érigé.
Le défrichage est en cours.
<br />
Il faut reconquérir le territoire abandonné aux sangliers.


 
Il y a encore du boulot et ce qui a été fait à l’été 2017 doit être repris avant de retrouver un repère à cochons. Les ronces ont repoussé de 3m cette année parce qu’il a beaucoup plu.
Normalement, cette semaine, la charpente devrait être livrée et la semaine suivante il est prévu l’intervention du menuisier.
La mise hors d’air et hors d’eau serait elle pour ce mois ci ?
[size=4]A suivre donc prochainement.[/size]
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« Mise hors d'eau constructeur »

Gros oeuvre > Charpente - couverture Par Paddos le 05/09/2018 à 15h09
Bonjour aux visiteurs du forum,

 
Le mardi 17 juillet, je reçois un SMS du Conducteur Des Travaux, la charpente est posée, nous pouvons peindre les bandeaux dès le mercredi, le zingueur intervient vendredi.
Nous demandons un peu plus de temps, le trajet + 3 couches de peinture (1 par jour) nécessitent que le zingueur n’intervienne que le lundi 23.
Le mercredi 18 juillet, nous descendons, ma femme et moi, pour constater l’avancée des travaux.
A 80 km/h, il faudra compter 12 h de trajet, 1 h ½ de plus qu’à 90.
Je peux vous garantir que la fatigue due à la conduite est nettement supérieure, pas facile de rester vigilant.
 
La réservation pour les condensats de l’unité intérieure de la PAC a été ajoutée.
 
la plus à gauche contre le mur sur la photo.

[size=4] 
[/size]
La charpente a été mise en place :
 
La loggia est au soleil dès le matin. Les bandeaux sont bruts.

Les déchets de toitures en intéressent plus d'un mais je leur ai déjà trouvé une fonction.


Pour quelqu'un qui a le vertige la hauteur peut impressionner.


Une telle lumière dans les chambres le matin, j'adore ; pourvu qu'il en reste l'hiver.

 
Le pare-pluie n’a pas été oublié, je n’ai pas hésité à assumer ce supplément de protection.
J’ai acquis une culture aéronautique, dans un avion, tout est doublé, les pépins sont rares.
Quoiqu’on en dise, c’est une sécurité supplémentaire de quelques années contre les incidents imprévus, notamment les fuites après caprice de météo.
Justement, il a fait quelques orages pendant la semaine : pas une goutte d’eau n’est entrée par le haut.
 
La charpente vue de l'intérieure.

Le pare pluie bien posé et efficace dès la première semaine.


La charpente, un bel ensemble. Au sol à droite, la réservation pour une unité intérieure de PAC qui a été rajoutée.


La charpente de près. Il ne manque pas une pointe.


la charpente conçue certainement par PC, elle est assemblée selon un plan de montage détaillé.

 
Le charpentier a fait du bon boulot.
Il a travaillé rapidement et n’a peut-être pas utilisé tous les éléments de positionnement fournis pour aller aussi vite.
Je ne me suis pas amusé à vérifier si toutes les lisses, antiflambages, entretoises et autres cache moineau étaient bien en place.
Je ne dispose pas des connaissances pour cela.
Je constaterai plus tard, des positionnements de fermette à plus ou moins 5 cm par rapport au pignon. Je n’ai pas spécialement cherché une erreur, mon but a été de positionner précisément mon caisson de VMC/charpente.
C’est peut-être dû aux jeux d’assemblage ou au positionnement des entretoises qui ont des dimensions variables en fonction de leur place.
Rien de perturbant en tout cas pour prendre mes repères. J’ai chatouillé le micron toute ma vie et j’ai toujours taquiné les becs-bois avec leur millimètre (mais leur raisonnement mathématique est souvent supérieur).
 
Nous sommes un peu déçus par le rendu esthétique de la pose de la frisette par-dessus la fermette dans le débord de toit.
Mais bon, c’est comme ça que pratiquent les charpentiers par ici et c’est présenté ainsi au show-room.
Pour moi, cela permettra d’alimenter l’éclairage extérieur discrètement plus tard, je pourrai rajouter un cache horizontal avec facilité.
Une bonne série d’entretoise à réaliser et un peu de frisette à poser …
 
La frisette sur la fermette. Moins esthétique que dessous mais cela facilitera l'ajout d'un éclairage extérieur.


Mais surtout nous avons à peindre les bandeaux, et les tuiles seront posées lundi.
Le charpentier nous a fait demander de peindre après la pose des bandeaux, cela lui semblait plus approprié pour éviter les déformations.
Ce n’est pas la recommandation que l’on trouve dans les règles de l’art mais son argument me paraissait tenir la route … j’ai accepté.
 
Nous avons donc commencé le jeudi, nous avons prévu 3 couches, donc 3 jours (jeudi, vendredi, samedi).
 
Nous nous organisons, après une tentative courageuse de ma femme qui a le vertige, nous avons convenu qu’elle ne continuerait pas sur les bandeaux mais pourrait peindre la frisette de la loggia.
Il faut dire que cette frisette a été posée n’importe comment.
 
Même si le trou autour de la maison n'influence pas l'équilibre, la mise en peinture de la frisette de la loggia est tout aussi laborieuse.

[size=4] 
[/size]
La lame fait environ 8 cm de large et chacune est clouée sur les fermettes à raison de 2 pointes à chaque fermette enfoncées à fond dans le bois.
Malgré les 3 couches de peinture, les trous ne disparaîtront pas, le rendu est affreux, des centaines de points ressortent et gâchent le travail.
La pose de frisette de cette largeur respecte des règles que chacun connaît mais pas le charpentier.
Mise à part la première bande, il suffit de placer une seule pointe dans la rainure à chaque fermette pour qu’elle soit cachée par la fermette suivante.
C’est ce qu’on appelle la pose masquée. La déformation est contenue dans le temps et la pose est rapide.
Les espace entre fermettes vont jusqu’à 600 mm ce qui normalement aurait nécessité des lambris de 15 mm (600/40=15).
En réalité, ils ne font que 12 mm. Espérons que leur flambage n’en souffrira pas.
 
Le conducteur des travaux sera informé plus tard en lui demandant son avis, il avertira le charpentier de mes remarques et conseils.
 
Le charpentier a depuis réagi en reposant une 2ème couche de frisette mais cette fois avec une pointe à tête plate au milieu de chaque frisette.
Le CDT essaie de me rassurer en précisant qu’au final il y a 2 fois 12 mm à la place des 15. Mais chacun sait qu’en ce qui concerne les déformations admises, chaque épaisseur est à prendre en considération individuellement.
L’avenir nous dira les conclusions effectives à tirer.
C’est plus esthétique mais la déformation est incontrôlable dans la durée. J’aurais préféré participer à la recherche d’une solution qui prenne en compte les déformations dues au séchage du bois.
 
Le 1er jour, la première couche est diluée à 10% au white-spirit et appliquée au pinceau. C’est long et fatigant de travailler les bras en l’air. Le bandeau sud n’a pas été réalisé malgré un travail le plus tardif possible.
 
Bandeau, la première couche est appliquée selon les directives du fabricant de peinture.

 
Le 2ème jour, le bandeau sud a été fait en premier, de bonne heure, le séchage ne peut se faire en plein soleil pendant 4 heures. Les 3 autres cotés sont faits sans dilution et au rouleau.
Nous avons fini plus tôt mais nous ne pouvons réaliser la 2èmè couche au sud, il faut 24 h entre chaque couche.
 
Peinture des bandeaux, la 2ème couche est en cours.

 
La 2ème couche au sud et 3ème couche des autres faces est faite le samedi.
Une petite sieste après le repas prouve que l’on peut rapidement être contaminé par les habitudes locales.
 
En plein boulot de récupération à 14 h.

 
Nous remontons chez nous le dimanche 22 juillet mais avant il a fallut réaliser la 3ème couche sud.
 
Le 3 aout, je reçois un MMS du Conducteur Des Travaux pour m’informer que la frisette de la loggia a été reposée par le charpentier.
Les photos que je reçois montrent une nouvelle frisette, elle n’est pas peinte mais aucun défaut n’est visible en raison de la définition et du format sur téléphone.

La nouvelle frisette, tout semble correct.

 
La tuile et la zinguerie sont posées.
 
La toiture au complet avec tuile et zinguerie.

La toiture finie avec les 3 sorties de toit qui seront repositionnées plus tard.
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« Problème d'étanchéité à la vapeur d'eau. »

Second oeuvre > Isolation Par Paddos le 06/09/2018 à 11h57
Bonjour les mordus de la construction,

 
J’ai un problème à vous exposer.
Peut-être pourrez-vous m’aider à le résoudre.
Mon constructeur m’a assuré de l’étanchéité du faux plafond en plaque de plâtre vers l’extérieure et notamment vers la laine de verre d’une épaisseur de 36,5 cm.
Un écran de sous toiture HPV a été installé que j’ai demandé dès le départ dans le CCMI. La perméance extérieure est donc forcément réduite mais suffisante pour évacuer la vapeur qui traverse l’isolant.
Mais l’étanchéité dont parle le constructeur, c’est uniquement l’étanchéité à l’air.
Pourtant d’après le Conducteur Des Travaux, aucun pare-vapeur ne semble prévu sous l’isolant.
Dans ma région, il est obligatoire. A Privas, c’est plus flou.
 
Ce qui m’inquiète c’est que la base de la fermette sera noyée dans la laine de verre.
Le point de rosée sera souvent situé dans l’isolant.
Lorsque de la vapeur d’eau se condensera, la fermette absorbera l’humidité, risquant de se déformer et provoquer des dommages à ce qu’elle supporte, le faux plafond en l’occurrence.
En cas de gel, et c’est relativement fréquent l’eau contenue dans la laine de verre détériorera la laine de verre en brisant ses fibres prématurément.
 
Voici un lien vers le site d’une société coopérative regroupant des constructeurs de maisons artisanales personnalisées.
http://gagnimmo.fr/_media/descriptif-mises-en-oeuvre-maconnerie.pdf
Les explications sont on ne peut plus claires.
 
Extrait qui décrit les sinistres en cas de non respect des hauteurs.

 
Justement, dans mon cas, le permis de construire indiquait une hauteur entre dalle primaire et fermette de 2,96 m ce qui était pas mal, presque conforme aux recommandations précédentes.
 
Coupe au dépôt du permis de construire le 29 août 2017.

 
Lors de la réunion technique de 2 h avec le responsable des travaux, le 26 octobre 2017, un plan daté de la veille était dans les fiches signées pour les choix techniques.
Il n’a été fait aucune allusion particulière sur ce document mais la cote de 2,96 était devenue 2,86 m sans que la moindre remarque me soit faite.
Je n’ai rien remarqué, à la fin de l’entretien, j’avais un peu la tête farcie de toutes les données techniques dont nous avions discuté à bâtons rompus et j’ai signé sans voir.
 
Extrait de la coupe longitudinale établie le 25 octobre 2017 présentée à la MAP.


 
Une demande de modification de permis de construire a été établie le 05 12 2017, la cote est bien de 2,96 m.
J’ai également accepté ce document.

Extrait de la coupe d'intégration établie le 05 décembre 2017 pour le service d'urbanisme.

 
Vers la mi-juin 2018 j’ai demandé au CDT si les murs, alors en construction, devaient encore monter. Je me suis rendu compte en consultant par hasard les documents du PC et de la MAP que les valeurs étaient différentes.
Je lui ai signalé cette anomalie.
 
Le 24 juillet 2018, après avoir constaté des difficultés pour réaliser mes passages de gaine du caisson VMC DF, j’ai signalé au constructeur cette anomalie en demandant quelle pouvait en être la raison et les implications dans le coût et la qualité.
Après quelques recherches sur Internet, j’ai pris conscience du problème de condensation et des conséquences induites par le risque certain de condensation en hiver.
Je lui ai joint le document sur la mise en œuvre maçonnerie vue précédemment.
J’ai insisté pour que le pare vapeur s’impose en raison de la position des fermettes dans l’isolant.
Je n’ai, aujourd’hui, aucune réponse.
 
La RT2012 impose un pare-vapeur rapporté et continu notamment dans le cas de plafond sous comble perdu dans certaine conditions.
Le pare-vapeur est obligatoire également dans les MOB en raison de la nécessité de protection du bois de l’humidité. Le SD doit être supérieur à 18 m.
Pour déterminer le besoin de pare vapeur, il faut se référer au CPT3647 qui recommande un pare vapeur indépendant selon le placement en zone très froide ou non et selon la présence ou non d’une zone ventilée.
Il n’y a pas de gradation en fonction des températures, le choix se limitant à la comparaison avec 2 valeurs, 3 ou 16 m².h.mmHg/g correspondant à « hors zone très froide » ou « zone très froide ».
 
Faut-il comprendre que « hors zone très froide », la résistance à la diffusion de la vapeur d’eau totale du plafond + isolant soit > à 3 fois la résistance à la diffusion de la vapeur d’eau de l’écran de sous toiture ?
Il semble que le constructeur soit dans les clous à condition que la fermette soit au-dessus de l’isolant, l’évacuation de vapeur par l’écran de sous toiture conviendrait pour absorber le flux de vapeur traversant l’isolant.
 
Cela me semble un peu tiré par les cheveux comme justification. La présence de bois ou non dans l’isolation n’est jamais prise en compte. Pourtant on connaît les problèmes dus à cette situation.
La membrane est conseillée par « Isover » sans plus de précision : https://www.isover.fr/sites/isover.fr/files/assets/documents/isolation-combles-Cahier-Prescriptions-Techniques-3560.pdf
 
La température de base pour l’Ardèche est de -8 degré. Il ne s’agit pas d’une zone de très grand froid mais il ne s’agit pas non plus d’une zone tempérée. On a connu à Privas des températures de -12,6° en janvier 2005 ou -14° en janvier 1971 et plus récemment -10,6° en février 2012.
 
Je n’obtiens aucune réponse de mon constructeur quand je lui parle du pare-vapeur. Pourtant la résistance totale à la diffusion de la vapeur d’eau (plaque de plâtre + 36 cm laine de verre) est autour de 6 m².h.mmHg/g.
Je vous fais grâce de mes calculs. Ils sont le résultat d’un intense investissement récent dans ce qui touche à la vapeur d’eau.
Le constructeur ne semble s’intéresser qu’à l’étanchéité à l’air et pas à l’étanchéité à la vapeur d’eau.
 
En conclusion, la RT 2012 ne fait que recommander la pose du pare vapeur, elle manque de courage pour l’imposer dès qu’un isolant s’avère perméable.
La RT 2012 est aujourd’hui dépassée, nous connaissons mieux les détails de la migration de la vapeur d’eau.
La RT 2020 imposera certainement le pare vapeur, particulièrement dans le cas de présence de bois porteur dans l’isolant.
Ma logique voudrait que dans mon cas, le pare vapeur soit imposé. Mais je ne suis pas professionnel du bâtiment ; y a-t-il des arguments pour aller contre cette logique de raisonnement ?
 
Qu’en pensez-vous ?
Quelqu‘un de compétent  peut-il m’en dire plus sur la nécessité du pare-vapeur dans mon cas précis ?
 
[size=4]Merci de bien vouloir m’épauler pour l’établissement de la vérité.[/size]
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« Préparation du caisson VMC DF »

Second oeuvre > VMC Par Paddos le 07/09/2018 à 09h35
Le dimanche 5 août, je prends la route pour le chantier, je dois préparer le caisson de VMC.

Je constate que les places de stationnement du parking voisin sont matérialisées. C’est une bonne chose, je compte 42 places qui ne seront pas de trop le jour de la rentrée. Ma parcelle a pu servir en dépannage.
A mon avis, certains jours, il faudra patienter.
 
Le parking voisin dont les places sont matérialisées. Pas sûr que cela suffise tous les jours.

 
Dès le lundi, je constate le rendu de ce que les constructeurs appellent la mise hors d’eau.
 
La vue nord-est.
La vue sud-est.

 
 
J'apprécie la vue du lever de soleil à partir de la loggia.


Pose de la frisette, une pointe tête plate au milieu. L'esthétique est améliorée mais les déformations ne seront pas contrariées.

 
Je constate également que la frisette est posée avec une pointe à tête plate visible dans sa largeur à chaque fermette.
Je donne mon avis sur ce travail aux dirigeants de La Maison Des Compagnons puis j’attaque les finitions du caisson de VMC DF.

Première couche au pinceau sur le caisson contrariée par de petites pluies.

Le travail progresse, le caisson a commencé sa protection.


Quelques petites pluies perturbent l’application de la 1ère couche mais rien de pénalisant, au contraire la température est plus supportable.
 
La 2ème couche est apposée au rouleau sur le caisson ; je rappelle ses dimensions, 3204 x 950 x 354.

La deuxième couche est réalisée à l'intérieure, l'extérieure suivra bientôt.

 
Je reçois la visite de ma sœur avec son compagnon qui remontent après 15 jours au Portugal.
J’ai également des habitants du coin qui me rendent visite pour parler de quoi ?, de construction.
Certains recherchent des matériaux de remblai, d’autres souhaitent simplement s’informer.
Tous sont unanimes, ils constatent journellement l’avancée des travaux et la qualité du travail vu de la route est remarquable.
 
Le 09 août le caisson a passé la nuit et toute la journée dehors sous la pluie battante, la peinture remplit son rôle de protection.
Je constate une flaque d’eau dans le garage, je vérifie avec une échelle, le pare pluie n’est pas mouillé. Et avec la tuile en plus,  il ne pouvait y avoir de fuite.

Une flaque d'eau dans le garage. Rien d'alarmant c'est la conséquence de violents orages avec du vent.

 
En observant de plus près, j’en déduis que le vent a poussé la pluie à l’intérieure et s’est rassemblée dans un creux de la dalle.
Cela me soulage mais nous rappelle que le hors d’eau réel n’est pas vraiment assuré, les menuiseries et l’enduit sont des éléments déterminant pour le hors d’eau proprement dit.
 
Le 10 août, j’attaque les gros perçages pour les gaines isolées d’Air Neuf et d’Air Vicié de 125-160.
La platine qui supportera la VMC DF est positionnée.

A gauche de la photo, la sortie Air Vicié qui sera orientée vers le toit, en bas l'arrivée Air Neuf qui aura transité par le WC. (façon de parler)

 
La sortie Air Neuf a été modifiée depuis le plan de départ pour faciliter l’orientation par rapport à la pente du toit. J’ai bien sûr fourni ce plan au CDT.
Les poseurs de cloison et plafond auront ainsi la correction.
 
Il est 18h, la journée se termine avec le soleil je prends quelque photos à partir du boulevard.

La maison en construction avec, à sa gauche, la vieille baraque de vigne.

 
Le lendemain, samedi 11, je prends la route, il y aura moins de trafic poids lourds.
La saison des mirabelles commence chez moi, j’ai du pain sur la planche (encore une).
Avant de partir, je constate le rendu à partir de l’école :

l'entrée en venant à droite par le porche est un peu juste avec la remorque et la sortie est plus aisée depuis que le garde-corps a été raccourci. Merci sincère à la ville de Privas.


Une vue plongeante à partir de l'école primaire de la construction. Derrière, la vieille baraque de vigne.
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« Mise en place du caisson VMC »

Second oeuvre > VMC Par Paddos le 08/09/2018 à 09h15
Bonjour à tous,

 
Le lundi 20 août 2018 je décide de retourner sur le chantier avec Bernard mon beau frère qui prend la place de ma conjointe occupée à exploiter les fruits récoltés en abondance.
En arrivant le soir même nous offrons avec plaisir 2 ou 3  kg de mirabelles bien mûres au patron de l’hôtel où nous avons l’habitude de réserver, des fruits d’une qualité exceptionnelle cette année mais en quantité phénoménale.
J’ai vu ces fruits en vente à Privas comme chez nous, c’est une honte, des fruits verts et moches à des prix 4 à 5 fois plus élevés que dans nos campagnes. Ils sont immangeables et on ose les vendre. C’est vrai pour tous les fruits en général.
Mangez 5 fruits et légumes par jour pour bien vous dégouter.
 
Le mardi, au boulot il faut mettre le caisson en place. Il ne pèse que 30 kg mais son volume nécessite d’être 2 pour le hisser et le positionner par rapport aux repères tracés lors de ma dernière venue.
Le trou en bout est du coté pièce de vie l’autre dirigé vers le WC, l’ascension peut commencer.

Le caisson est en haut en position retourné pour y loger la VMC DF.

Le caisson fait 3,204 m de long.

[size=4]Deux c'est bien pour surveiller la stabilité pendant que l'autre manoeuvre pour l'ascension.

[/size]
Les fermes ne sont pas toutes au même niveau, il faut caler le caisson pour le placer horizontal sinon les condensats ne s’évacueront pas du bon coté.
3 Cm de calage sont nécessaires du coté pièce de vie.
 
Nous allons ensuite installer provisoirement la VMC dans le caisson.
Ce ne sera pas de la tarte, elle ne fait que 35 kg environ mais elle est encombrante et difficile à stabiliser tout en la levant à près de 2,9 m.
Nous devrons nous reprendre en plusieurs fois, il faut l’incliner à 45° vers la platine sinon les crochets plats ne rentrent pas dans leur encoche.
C’est sans doute une sécurité, quand elle est suspendue la VMC ne peut plus se décrocher même en tirant dessus horizontalement.
Cette position est parfois recherchée pour démonter des éléments à nettoyer ou à changer (démontage de l’échangeur ou des ventilateurs) mais ce n’est pas une obligation.
Le changement des filtres se fait en moins de 5 minutes par le dessous.

La VMC en position suspendue.

 
Cette mise en place est indispensable pour équiper correctement l’ensemble avec les 2 plénums (répartiteurs) d’aspiration et de soufflage.
Progressivement, nous équipons le caisson.
Nous nous partageons le travail pour en faire le maximum en 2 jours :
Les plénums sont positionnés à tour de rôle puis les trous sont réalisés dans le caisson.
Il faut 12 trous ajustés au diamètre 79 qui recevront des connecteurs que j’ai fabriqués la semaine précédente.
Je fournirai des détails plus tard, je n’ai pas eu le temps de prendre des photos avant de rentrer à la maison.
Ils sont en PVC de 80 et bénéficient d’un gonflement pour recevoir la gaine semi-rigide qui passe tout juste (un peu serrée) dans le tuyau au départ.
Le gonflement qui fait 80 mm de long coté caisson permet d’équiper la gaine d’un joint spécial sur la 2ème rainure entre les anneaux. Une gaine venant de l’extérieure du caisson sera introduite sans joint puis équipée de celui-ci pour être ainsi bloquée au fond tout en assurant l’étanchéité parfaite. Il est impossible de tirer sur la gaine de l’extérieur sans exploser quelque chose.
La gaine venant du plénum est également équipée d’un joint coté intérieur du connecteur caisson et sa longueur est calculée pour que le raccord sur le plénum qui nécessite ¼ de tour en entrant de 15 mm, permette d’entrer presque à fond des 60 mm libres restant dans le gonflement. Une fois le ¼ de tour réalisé pour la connexion au plénum, 40 mm resteront engagés dans le gonflement avec un joint assurant l’étanchéité.
Cela paraît un peu compliqué mais je suis assuré ainsi d’un démontage facile et rapide sans outil pour accéder à n’importe quel circuit du réseau pour un nettoyage éventuel tout en réduisant les fuites à presque rien.

Les 12 gaines arrivent au caisson et seront connectées de façon étanche. Petite erreur, la porte du WC s'ouvre en réalité vers le couloir.

Notez la sortie Air Neuf a été modifiée pour pouvoir s'orienter en fonction de la pente du toit sans retoucher le trou de sortie du caisson.


Petite parenthèse, la porte du WC devrait s’ouvrir vers la porte du couloir, c’est une modification apportée le 26 octobre 2017 lors de la réunion technique pour faciliter l’ouverture même si une personne est effondrée derrière la porte dans le WC.
Mais vu les erreurs possibles entre les documents PC et les documents d’étude technique, il est possible que la porte commandée soit à gauche ou à droite.
Que ce soit l’une ou l’autre, on prendra certainement comme c’est, je ne sait pas si des obligations déterminent ce choix.
Il y a des avantages et des inconvénients dans les 2 cas.
 
Les plénums ne sont pas à la même hauteur pour permettre le croisement des différentes gaines sans contraintes.
Tous les connecteurs seront gonflés à l’extérieur du caisson également pour empêcher leur démontage et permettre de réaliser une étanchéité entre les connecteurs et le bois du caisson avec un joint silicone d’une part.
D’autre part, un film polyéthylène englobera le caisson et sera scotcher sur chaque connecteur pour parfaire l’étanchéité.
Rappelez-vous, en aéronautique les sécurités sont doublées, en aéraulique aussi.
Conclusion, aucune fuite d’air, aucune fuite de vapeur d’eau vers l’isolant qui est au-dessus.
 
Après 2 jours de boulot il a fallu démonter tout. La VMC ne peut rester en place alors que les menuiseries ne sont pas encore montées.


La VMC DF à Très Haut Rendement, la HCC2 de Dantherm, un beau volume à chouchouter.

La prochaine étape consistera à placer les films caoutchouc pour réduire la transmission de vibrations éventuelles et améliorer l’acoustique générale.
Il faudra également envelopper le caisson avec le film polyéthylène et parfaire les détails.
Il ne restera plus qu’à attendre la pose du faux plafond pour y placer les bouches de soufflage et d’aspiration puis de les raccorder avec les gaines qui vont bien.
Là aussi, j’ai préparé des coudes étanches pour les bouches avec des colliers de ma fabrication qui empêcheront toute déconnexion accidentelle de la gaine avec le coude (vibrations ou légère tension) lors de la mise en place des faisceaux électriques par exemple.
Courant septembre, je serai certainement appelé à retourner sur le chantier.
[font=Calibri","sans-serif]Dès que j’ai des photos, je vous les présente pour aider à la compréhension.
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« Préparation des entrées-sorties de VMC DF »

Second oeuvre > VMC Par Paddos le 03/11/2018 à 09h12
Bonjour à tous,

 
Le 26 septembre nous retournons avec ma femme sur le chantier de la maison où je poursuis la réalisation des entrées-sorties sur le caisson de VMC DF.
 
Je prends quelques photos du caisson dont les trous ont été réalisés le 22 août.

Les entrées-sorties sont faites.

 
Un support pour le deuxième plénum a également été assemblé. Il permet un décalage en hauteur dans le caisson du répartiteur des souffleries par rapport à celui des aspirations.

Le support du 2ème plénum est découpé, assemblé et fixé.

 
Un film polyéthylène a été pré-positionné sur le caisson en vue de garantir l’étanchéité à l’air et à l’eau.
Il ne sera déployé qu’une fois les manchons connecteurs posé et sertis

Le film polyéthylène est glissé entre la fermette et le caisson.


Le film polyéthylène dépasse largement la longueur du caisson.

 
Les découpes circulaires ajustées au diamètre des connecteurs PVC sont peintes pour mieux assurer les jonctions le 25 et 26 octobre.
 
Le 27/10 à 9h nous rencontrons les conducteurs des travaux pour faire le point sur le gros-œuvre d'une part et prévoir la mise en place des menuiseries et de l'isolation, cloisons, caisson VMC, d'autre part.
 
Aucune explication ne m'est fournie concernant la cause de l'erreur de hauteur des murs de 10 cm qui a engendré une hauteur de plafond inférieur de celui-ci.
Nous aurons tout de même une hauteur de 2,44 m, il est impossible de grignoter plus, la VMC utilisant l'espace du sous-plafond pour le passage des circuits de gaines.
 
Aucun courrier du fabricant de laine de roche concernant le pare-vapeur, contrairement à ce que m'annonce le conducteur des travaux gros-œuvre.
Il semble que le fabricant de laine de roche devrait me fournir, par courrier, des garanties, mais je ne sais rien de plus.
 
Le reste de la semaine mon beau-frère et sa femme nous rejoignent et nous faisons du tourisme jusqu’au 29/09 compris.
Le dimanche 30/09, je m’attaque à nouveau au caisson VMC.
 
Avant tout je vous présente les éléments qui composent les connexions et la manière dont je les ai réalisées.
 
Tout d’abord les connecteurs en PVC qui permettent de séparer les gaines extérieures au caisson et celles intérieures.
Ils permettront, plus tard, de déconnecter aisément les gaines pour procéder au nettoyage des circuits.
Il s’agit de Ø 80 x 120 que j’ai manchonné sur 80 mm de long au diamètre extérieur des gaines semi-rigides plus quelques dixièmes pour que le joint d’étanchéité remplisse sa fonction.
 
Voici la photo d’un connecteur :

On remarque le gonflement sur la partie droite. Une reprise est visible en raison de la course de la poupée mobile sur le tour.

 
J’ai tout préparé à la maison où je dispose d’un tour qui m’a permis de tourner l’outil en bois de chauffe facilitant le manchonnage.
Cet outil est utilisable aux 2 bouts, je disposais de PVC de Ø 80 de 2 vendeurs différents avec des cotes d’épaisseur légèrement différentes.
Sur le tour, j’ai serré chaque connecteur dans le mandrin, placé l’outil en bois dans le tuyau (avec un jeu de 1/10 de mm) appliqué la pointe de la poupée mobile contre l’outil grâce à un trou de centre.
A la mise en marche de la machine j’ai utilisé un pistolet à  air chaud pour monter la température du PVC et j’ai avancé à une vitesse moyenne, sans forcer, l’outil en bois en sortant le fourreau de la poupée mobile.
La course de la pointe mobile ne permettant pas de faire les 80 mm de long en une fois, il y a une reprise légèrement visible mais sans conséquence pour l’étanchéité.
La méthode est efficace dès qu’il s’agit de dépasser un manchon 30 mm de long qui lui peut être réalisé sans outil, simplement avec un autre tuyau.
Ce type de manchon long ne se trouve pas dans le commerce.

L'outil en bois avec son amorce de 20 mm au Ø 76,5 intérieur environ suivant le tuyau et son corps au Ø 78 environ.


l'outil en place dans le manchon qu'il faut retirer une fois le PVC refroidi.

 
Les manchons sont introduits par l’intérieur du caisson après avoir été marqués pour identifier le lieu à desservir.

La partie gonflée est à l'intérieur, la partie inchangée dépasse à l'extérieur du caisson de 25 mm.

 
Alors que la force de poussée aura tendance à faire entrer le connecteur dans le caisson, il suffit de prévoir une cale arcboutée qui s’y opposera.
Pour cela j’utilise les cales entretoises préparées pour empêcher la déformation du caisson quand il est suspendu par les sangles (effet de resserrement des bords)
Après, il suffit, avec le même outil en bois et le décapeur thermique de gonfler ce qui dépasse à l’extérieur.
Attention à ne pas brûler le PVC, en tâtonnant de temps en temps, on peut sentir quand la matière est prête à se déformer sous la poussée de l’outil.
Il faut surtout avoir une action balayage du pistolet à une température raisonnable.
Il faut laisser refroidir avant de retirer l’outil en bois.
En cas de Ø trop grand, il suffit de re-chauffer pour que le tuyau reprenne son diamètre d’origine.
Le manchon connecteur est maintenant prisonnier dans le caisson.

Pendant le chauffage et le manchonnage, une cale empêche le connecteur de reculer.


Le manchon prêt à être gonflé par l'outil en bois après chauffage.


Le manchon prêt à être gonflé par l'outil en bois après chauffage.



Un simple pistolet à air chaud pour le gonflage des manchons.

 
L’opération est ainsi répétée pour avoir les 12 connecteurs.
Petite vérification de l’assemblage :
Une gaine est introduite par l’extérieur du caisson, elle est censée venir d’une bouche au plafond d’une autre pièce.
Un joint est installé sur la gaine au 2ème sillon de la gaine.
La gaine est tirée vers l’extérieur du caisson et rentre à fond jusqu’à butée contre l’épaulement oblique.

Le joint spécial pour l'étanchéité à mettre autour de la gaine semi-rigide.


[url=http://www.forumconstruire.com/photos/viewer-pid_1723024.php][/url]La gaine est introduite et dépasse à l'intérieur.



Le joint est monté dans le 2ème sillon.



La gaine est poussée à fond dans le connecteur.

 
Par la suite, il faudra préparer les liaisons avec les répartiteurs en coupant des gaines à la longueur requise pour chaque entrée.
Calcul de la longueur de gaine = distance entre le plénum équipé d’un connecteur à vis 1/8 de tour + 40 (entrée dans le manchon prisonnier) + 50 (entrée dans le connecteur 1/8 de tour)
J’équiperai chaque gaine d’un joint d’un coté et d’un connecteur adapté au répartiteur  (1/8 de tour) de l’autre (sans joint nécessaire).
Il faut d’abord introduire le coté équipé du joint à fond dans le manchon (60 mm) puis l’introduire en le tournant d’1/8 de tour dans le plénum (15 mm).
La connexion est alors étanche, le joint dans le manchon est au moins à 20 mm de profondeur.

La gaine correctement dimensionnée est équipée d'un joint et du connecteur 1/8 de tour.


Un plénum ou répartiteur nu.


Un plénum et ses différents connecteurs.


Un plénum en place partiellement équipé. Les manchons en beige, les connecteurs en gris et les gaines entre les 2 en blanc.


Un autre exemple de longueur : la gaine est introduite à fond avec son joint.


Vissage d'1/8 de tour en tirant vers le répartiteur.


3 Gaines courtes prêtes à monter.

 
Une fois la vérification de la mise en place des connexions sur les plénums effectuée, je décide de réaliser plus tard les autres liaisons.
Les menuisiers viennent le 02/10 et je ne veux pas les gêner dans leur travail, il faut avancer un max sur ce qui doit être fait avant l’arrivée des plaquistes.
Il faut poursuivre la préparation de l’étanchéité du caisson en développant le film d’étanchéité avec une prévision large de la longueur et de la largeur.
A ce stade, le caisson est toujours partiellement suspendu à des cornières qui reposent sur les fermettes.
On peut toujours le bouger de quelques centimètres s’il le faut pour le placer au mm quand les plaquistes viendront.

Le caisson équipé du film étanche déployé.


Le caisson équipé du film étanche.


Le caisson équipé du film étanche.

 
Le lundi 01/10 j’attaque le calage du caisson sous les fermettes.
Il doit être horizontal si l’on veut que les condensats s’écoulent correctement une fois la VMC installée.
Je confectionne des cales de différentes épaisseurs qui seront équipées d’un boyau de caoutchouc ou d’un film caoutchouc qui fera office d’amortisseur acoustique.
Même si la VMC n’est pas bruyante du tout, c’est une précaution supplémentaire.
A chaque contact entre 2 éléments d’assemblage, j’introduis une matière qui bloque certaine fréquences de sons un peu comme quand on place 2 verres de différentes épaisseurs dans un double vitrage.

Une cale en bois d'environ 15 mm d'épaisseur.


Une cale en bois d'environ 15 mm d'épaisseur. Le caoutchouc est en place.



Une autre cale d'une autre épaisseur en place entre le caisson et la fermette. On peut voir la cornière qui supporte l'ensemble.


La platine qui supportera la VMC est également équipée d'un caoutchouc. Elle règle automatiquement la pente des condensats si le caisson est horizontal.


Le caisson et la cornière au-dessus à laquelle il est partiellement suspendu.

 
Le travail de calage est terminé, je peux resserrer les tirants qui remonteront le caisson contre les fermettes.
Les sangles sont retirées, sauf une qui supporte l’extrémité en porte à faux. Elle n’est pas indispensable, mais en attendant les plaquistes toute déformation verticale du caisson est contenue.
Seuls les 4 points de fixation de la VMC sont équipés de tirants  (tiges filetées M8 équipées de rondelles amortissantes, écrous et contre-écrous).
 
Maintenant il me faut soigner l’étanchéité entre les manchons connecteur et le film polyéthylène.
J’utilise de l’adhésif étanche à l’air et à l’eau.
Je procède méthodiquement, d’abord autour du manchon en prenant soin d’étendre le ruban pour éviter les plis.
Puis un autre tour qui assure l’absence de fuites.
Enfin des morceaux à plat tout autour et entre les connecteurs.
Les 12 manchons connecteurs sont traités.
Quand les gaines seront en place, la laine de roche plaquera l’adhésif et réduira le risque de décollement.
Je complète l’étanchéité de manchons connecteurs en étalant un joint acrylique autour contre le bois du caisson.

L'étanchéité entre manchon et film polyéthylène est assuré par l'adhésif orange. Une sangle est encore nécessaire pour soulager le caisson.


L'étanchéité entre manchon et film polyéthylène est assuré par l'adhésif orange. Les 6 connecteurs de l'autre coté.

La journée se termine tardivement, il reste encore l'étanchéité des gros diamètres à traiter.
On verra cela demain.
A bientôt.
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« Pose des menuiseries »

Second oeuvre > Menuiserie Par Paddos le 04/11/2018 à 10h25
Bonjour,
 
Le mardi 02/10, les menuisiers sont déjà à pied d’œuvre quand j’arrive à 9h30.
Ils ont attaqué 2 h plus tôt, la pose est bien avancée, tous les volets sont en place, ils ont déjà fixé plusieurs fenêtres.

La porte de garage n’a pas été livrée, ils ont placé des panneaux de bois à la place.

Ils m’autorisent à poursuivre l’étanchéité, je resterai à une extrémité du caisson pour terminer l’étanchéité de l’arrivée d’air neuf et la sortie d’air vicié de diamètre 125. Je ne les gênerai pas.
J’applique un joint silicone acrylique étanche de chaque coté, ce qui en plus le maintien. Ces connecteurs ne sont pas manchonnés, ils recevront des conduits isolants en mousse de diamètre 125-160.
L’adhésif étanche est également appliqué.

Les connecteurs sont en place et étanches. Air neuf en blanc, air vicié en gris.

 
A 15 h, les menuisiers ont fini, ils s’en retournent chez eux, ils ferment la porte, donc je n’ai plus accès.
J’ai eu le temps de faire quelques photos intérieures avant de partir.

Des fenêtres posées.

 
Après leur départ, j’ai eu tout le temps de regarder le travail réalisé en extérieur.
J’ai pu constater des marques courtes mais profondes sur la moitié des glissières des volets.
J’ai d’abords cru à des marques faites par les outils des poseurs.
Plus tard le conducteur des travaux m'informera qu’il s’agit de marques à la fabrication des glissières en usine.
De plus comment peut-on laisser de telles marques sortir d'un atelier d'usine ?
Quoiqu’il en soit, je suis étonné de ne pas avoir été mis au courant par les poseurs. Il est impossible de ne pas les voir.
Le conducteur des travaux second-œuvre, informé, décidera en conséquence des mesures à prendre.
Nous allons donc rentrer à la maison.

Le rendu de l'extérieur.


Le rendu de l'extérieur, la porte de garage manquante a été remplacée par des panneaux.


Des marques visibles au bas des glissières des volets.


Des marques visibles au bas des glissières des volets.

 
[size=4]Bientôt je reviendrai pour positionner le caisson au mm avant que les plaquistes ne l’entourent de BA13.[/size]
A très bientôt.
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« Plafond, isolation intérieure et cloisons. »

Second oeuvre > Cloisons - portes intérieures Par Paddos le 06/11/2018 à 10h21
Bonjour,
 
Le dimanche 07/10, je reprends la route seul pour Privas.
Dès le lundi matin un peu avant 8h, la livraison des matériaux nécessaires au plafond, isolation intérieure, cloisons et portes sont livrés.

Le déchargement s'opère.
Le déchargement s'opère.

 
Les plaquistes prennent leurs repères horizontaux avant de fixer les suspentes qui soutiendront les fourrures sur lesquelles le BA13 sera maintenu par vissage.
Ils utilisent le niveau laser et la règle alu.
Ils attaquent rapidement le BA 13 au plafond.

les fourrures sont posées de niveau au plafond.


Les premières plaques sont posées.


Le caisson VMC nécessitera des découpes qui seront abordées plus tard.


Le plafond presque terminé. Les panneaux polystyrène à l'abri.

 
Pendant ce temps là, je m’occupe de dégager le mur de la maison de la voisine avec laquelle nous avions discuté la dernière fois.
Des arbres ont poussé à une vitesse grand V, des vinaigriers paraît-il. Le vent des jours précédents faisait cogner la cime de ces arbres contre les tuiles et gênait la tranquillité des occupants.
J’ai dégagé le coin rapidement et il faudra que je surveille, la pousse de cette espèce est rapide et envahissante.
Je devais dégager ce coin depuis un moment mais l’endroit me paraissait moins encombré qu’ailleurs.
Il est vrai que je mettais le paquet sur les ronces et autres piquants de toutes sortes.

Le mur commence à être dégagé.


La taille se poursuit jusqu'au fond.

 
Il est procédé au déballage des panneaux d’isolation en polystyrène graphité, le TH32.
Certains sont très abîmés sur les bords. C’est en général dû à un stockage au soleil chez le revendeur.
Même s’il n’y a pas de soleil, ils sont rapidement mis à l’abri à l’intérieur.
Les plaquistes devront réserver certaines plaques pour convenir dans les découpes et éliminer les zones abimées.
Le passage à la caméra thermique risque d’être révélateur si de telles dégradations sont conservées.
Certaines sont vertes, elles sont hydrofuges, réservées à la paroi de salle de bain.
Elles ont été bien exposées, ce n’est pas normal. Les panneaux seront collés directement sur les murs.
La journée se termine bientôt, demain pose des panneaux d’isolation.

Les panneaux après déballage.


Certaine plaques sont dégradée sur les bords. Ici les vertes.


Certaines plaques sont dégradées.


La colle qui servira à la pose des panneaux aux murs.

 
Le 09/10 à leur retour les plaquistes ont apporté quelques rails manquants pour terminer la pose du plafond.
Le BA13 est passé juste au dessus des coffres de volets roulants sans nécessiter de découpe.
Les panneaux sont ensuite apposés aux murs de briques.

Le BA13 juste au-dessus des volets roulants. Des panneaux isolants sont posés.


Les panneaux isolants TH32 sont en cours de pose.

 
Pendant ce temps là je travaille dans la vieille baraque de vigne.
Je prépare un vieux lave-mains récupéré 12 ans auparavant. Il est comme neuf mais surtout, on peut s’y laver les mains, pas seulement le bout des doigts.
Il est bien profilé, pas de risque de blessure aux angles et il trouvera sa place dans le WC.
Je me rends dans le magasin de bricolage pour l’équiper correctement.
Dans un premier temps je l’équipe comme à l’origine comme le montre la photo.
Mais par la suite, j’ai utilisé la bonde commandée par le mitigeur avec un autre siphon mieux adapté.

Le lave-mains de dos.


Le lave-mains de dessus.


Le lave-mains de coté.


Le lave-mains équipé du mitigeur.


Le lave-mains équipé vu de face.

 
Le 10/10, le lendemain je constate que les plaquistes ont bien avancé sur les cloisons.
Elles font 7 cm d’épaisseur, elles ont intégré une couche de laine de verre. C’est un minimum si l’on veut préserver la tranquillité des dormeurs.
A 10h30, les cloisons de la première chambre, de la salle de bain et du WC sont commencées.
La première cloison de la cuisine est en cours également.
Bizarre, les trous de réservation sont sous la cloison.
Pour le plaquiste, c’est peut-être voulu par le maçon, rien d’anormal, le sol remontera de 16 cm, aucun problème pour récupérer cette alimentation et évacuation.
Le montage se poursuit par les cloisons du garage plus épaisses, également équipées de laine de verre.
Les plaquistes ne vont pas tarder à partir, je prends quelques photos et leur demande de me laisser la porte ouverte pour me permettre de faire le perçage qui amènera l’air neuf de la VMC DF par le WC.
Quelques réservations sont limite sous la cloison mais tout de même accessibles. Pour moi, rien d’anormal.
Les plaquistes ont découpé le film polyéthylène et l’on scotché proprement.
De toute manière, je repars demain matin, il faut que je m’attaque à l’arrivée d’air neuf.

La première chambre à gauche est faite.


La cuisine a sa première cloison. Bizarre les réservations sont sous les cloisons.


Les cloisons du garage.


La douche et l'évacuation Machine à Laver prévues.

 
C’est vrai que l’arrivée d’air neuf était prévue dans l’angle du WC.
J’ai le choix, ou je pars en biais ce qui ne peut faire que bricolage de rattrapage et cagneux ou je perce à la verticale de la réservation.
Le tuyau de diamètre 125-160 en mousse ne sera pas dans l’angle mais cela fait quand même plus sérieux.
J’ai du boulot, je tombe sur une fourrure qu’il faudra que je découpe proprement sur la moitié de sa largeur seulement pour conserver sa rigidité.
Même si le plaquiste m’a dit que je pouvais la couper carrément parce que les cloisons sont maintenant là pour empêcher toute déformation, je préfère limiter les risques.
Je passe 1h1/2 sur le sujet mais le résultat est satisfaisant et le trou est ajusté au tuyau mousse que je relie au caisson en faux plafond ‘tuyau blanc).

La préparation du perçage du plafond dans le WC. La zone est éclairée.


Le perçage air neuf est réalisé, la liaison est opérée avec le caisson.


Le tuyau blanc est l'arrivée d'air neuf qui passe par le WC. Le film polyéthylène est scotché sur le caisson.

 
Le lendemain les plaquistes constateront mon intervention. Ils continueront sans moi, je dois rentrer.
Il suffit de pousser le coude en mousse dans le WC s’il gêne.
Je pars tranquille ils font du bon boulot, précis et soigné.
[font=Calibri","sans-serif]A bientôt pour la suite.
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« Cuisine et électricité »

Second oeuvre > Electricité Par Paddos le 09/11/2018 à 11h13
Le 24/10 j’en ai profité pour établir les besoins en électricité et j’ai placé des éléments électriques avec une méthode qui m’est propre parce que je ne suis pas un spécialiste de l’électricité et particulièrement de son implantation générale.
L’avant-veille l’entreprise d’électricité m’a téléphoné pour convenir d’un rendez-vous avec l’électricien lundi 29/10 à 14h30 en vu d’établir les plans.
Il n’est pas disponible le matin.
Le conducteur des travaux m’a prévenu de sa présence le même jour pour 15h30.

Le jeudi 25 octobre, après avoir réglé des problèmes locaux, nous nous rendons, ma femme et moi, sur le chantier distant de 650 km.
Le 30/10, nous devrons absolument remonter à la maison.



Un des premiers plans pour les besoins électriques de la cuisine.



Un des premiers plans pour les besoins électriques de la maison.
 
Surtout, il faudrait avoir consulté un cuisiniste pour faciliter l’échange avec l’électricien.
Les informations en bleu rappellent la multitude de circuits nécessaires.
Je fais un rapide passage sur un site qui me permettra d’appréhender les nouvelles normes, la NF C 15-100 avec ses amendements.
 
Le vendredi 26/10, je me rends à la maison en construction.
Impossible de rentrer, il n’y a pas de barillet, le conducteur est en vacances depuis 2 semaines et il n’a pas pu poser un barillet de chantier dont le constructeur m’a fourni la clef en raison de mes interventions techniques nécessaires sur la VMC DF.
Les jointeurs ont dû refermer à clef lors de leur venue.
Je réussis à me procurer le nécessaire pour entrer en fin de matinée.
Je regarde le travail accompli, l’enduit et le ponçage sont en cours mais il en reste à faire.

Les joints et le rebouchage ont commencé.


La salle de bain.


La chambre 1.

 
Lorsque j’entre dans le couloir, je constate que le caisson VMC est à au moins 7 ou 8 cm de la porte du couloir.
Normalement, il aurait dû être aligné. Le plaquiste m’avait dit qu’il pourrait y avoir 1 ou 2 cm d’espace. Pour moi, cela n’aurait pas posé de problème. Je l’aurais refermé en temps voulu.
Je dois normalement poser des portes à charnières sous le caisson, je me chargerai donc de finir le plafond dans le couloir avec des plaques légères et rigides à déterminer par la suite.
Pourtant quand j’ai positionné le caisson et que le conducteur des travaux a tracé le positionnement du couloir, il n’y avait pas 2 mm de différence.
Mais bon les mesures on sait que ça peut être impacté par des erreurs.
Moi-même, j’ai utilisé un mètre ruban de 5 m et un fil à plomb à l’ancienne. Je n’ai pas de laser.
Je procède à l’immobilisation définitive du caisson en introduisant des vis à bois 5x70 à empreinte Torx 25 dans les trous pré-percés à travers le cadre directement dans les fermettes.
Jusque là, le caisson tenait par le fond ou les sangles, désormais, le cadre de renfort maintien l’ensemble.
 
Le samedi 27/10, nous nous rendons  à Montélimar pour consulter des cuisinistes, Cuisinella, Schmidt, Ixina, Mobalpa, …, un véritable marathon toute la journée même si nous en avions déjà visité dans notre région, nous n’étions pas allés jusqu’à demander des devis parce que c’était pour un lieu trop éloigné.
Nous obtenons un rendez-vous pour le lundi 29 à 10h.
 
Le dimanche 28/10, je me décide à éclaircir le problème de cloisons.
Je mesure donc le couloir ; il fait 7 cm de plus en longueur. Donc mon caisson est peut-être à la bonne place.
Je mesure le garage, il fait 8 cm de moins que prévu.
Je mesure le placard d’entrée, même chose.
Je mesure la largeur du WC, c’est bon.
Je mesure la largeur de la salle de bain, pile poil.
Je mesure la profondeur de la chambre 1, il y a 7 cm de trop.
Voilà le problème, les plaquistes on commencé par la chambre 1 coté ouest, ils ont placé la première cloison 7 cm trop loin, toutes les cloisons coté ouest sont décalée de 7cm.
 
Je passe en revue les conséquences :
Une chambre plus grande ce n’est pas catastrophique ; un  couloir plus long ce n’est pas gênant ; un caisson décalé par rapport à la porte, pas de problème particulier ; un placard d’entrée de 2,90 m au lieu de 2,98 m c’est encore suffisant.
Un garage plus court alors que je l’avais fait agrandir, c’est un peu plus gênant surtout que le coffret électrique que je n’ai jamais visualisé sur aucun plan me pique 25 cm ; je me vois déjà faire des acrobaties au bout de la voiture pour accéder à la cuisine.
Une cuisine aux bonnes dimensions mais décalée de 7 cm par rapport à la fenêtre, il va falloir faire attention à pouvoir ouvrir la porte du placard sans cogner la fenêtre éventuellement ouverte, cela peut gêner.
Mais s’assoir sur un WC qui n’est plus centré dans une largeur de 84 cm, cela devient acrobatique, il faudra se pencher à droite, l’axe du WC se trouvant à 35 cm d’une paroi et à 49 de l’autre. A moins que l’on bricole des coudes à la sortie du WC et que l'on garde le réservoir décalé, ce qui me parait peu envisageable.
On ne peut pas déplacer le conduit d’air neuf de la VMC, 4 coudes isolants amèneraient une perte de charge trop importante et pour décaler de 7 cm, je ne trouverai pas même en 30°.
En consultant le plan et je comprends tout de suite ce qui s’est passé. C’est un problème de cotation mal interprétée.

Extrait de plan dont disposaient les plaquistes. Le plan était, de plus, surchargé de couleurs pour différencier les cloisons.

 
On comprend comment la confusion s’est établie.
J’ai passé 48 ans de ma vie à dessiner, surtout des ensembles mécaniques, à la main, en 2D puis en 3D avec de multiples logiciels de l’industrie. Et là, cela me saute aux yeux. La chambre 1 aurait dû faire 2,80 m, elle fait 2,87 m.
Il semble que la seule solution consiste à remplacer les cloisons mais je ne connais pas toutes les ficelles face à ce genre de déconvenue.
C’est vraiment dommage et difficile à accepter, les plaquistes ont fait du bon travail, ils y ont mis du cœur.
Le conducteur des travaux évalue lui aussi les conséquences, il ne me propose pas d’autre solution.
Il n’y a rien à dire de plus.
 
Le lundi nous nous rendons chez le cuisiniste et nous trouvons un accord d’implantation.
Nous avons dû réduire nos ambitions de confort mais la cuisine est assez spacieuse pour nous permettre de fournir suffisamment de rangements simples.
Nous ne recherchons pas le tape à l’œil, la priorité est sur le fonctionnel.
Je me chargerai de la pose pour que le budget ne soit pas un obstacle.
Nous repartons vers le rendez-vous de 14h30 avec l’électricien en possession d’un plan technique pour la cuisine.
Même si je pouvais m’en passer, c’est un petit plus et je vois un peu mieux les contraintes techniques.
Je n’ai pas reçu l’accord du cuisiniste pour vous le présenter, peut-être un oubli de sa part. Ou peut-être plus tard …
En attendant, il vous faudra vous contenter des miens :

Le plan de cuisine revu et corrigé par mes soins.

 
14h30 Arrivée de l’électricien : je comprends que le travail de préparation n’était pas du superflu.
La secrétaire de l’entreprise qui m’avait dit qu’en 1 h c’était plié n’a pas idée de la quantité d’informations à consigner pour une maison complète.
D’autant plus que nous avons un petit désaccord sur le nombre de prises de courants et de RJ45.
Heureusement, j’ai la documentation sur mon PC et nous la consultons. J’ai peut-être raison mais la doc. vient d’un fabricant de matériel électrique (c’est pas le petit, c’est l’autre), ce peut-être une exagération commerciale pour pousser à la vente.
Certains besoins sont mis en réserve en attendant la bonne source d’information.
 
L’électricien constate également que la machine à laver ne peut peut-être pas se placer contre la paroi de douche. Il faudra qu’il vérifie.
Le constructeur a établi les plans sans avoir conscience de ce problème, la norme évolue sans cesse, elle est d’août 2016 mais ses derniers amendements sont du 12 octobre 2017.
Mon permis a été accepté le 25 octobre 2017.

Image extraite du site "Promotelec.com" :
<br />
La machine à laver est prévue dans le volume 2 de la douche, il faut la déplacer.
<br />
Le sèche serviettes est dans le volume 2 de la baignoire, il doit être de classe II.


Après vérification, il semble qu’une machine à laver ne puisse pas être contre la paroi de douche ; il va falloir réfléchir à une nouvelle implantation.
Je ferai rapidement une proposition qui, s’il elle est possible et acceptée, devrait conduire à la modification en permettant même des économies matérielles, par une suppression d’une petite cloison carrelée.
L’électricien devra légèrement modifier le plan.

Même en envisageant l'inversion de la colonne de douche avec la position du siège, le gain serait d'environ 60 cm et la machine à laver serait toujours dans la zone 2 de la douche.
IL faut imaginer une cordelette de 1,20 m fixée au raccord de flexible et qui contourne la cloison.

Le raccord du flexible est mis à la place du siège et inversement.


Attention, le cercle de 1,2 m est le centre de la tête de douche si une tête fixée, non amovible (type pluie) est en place.

La machine à laver se trouvait dans les volumes 1 et 2 de la douche (Orange et Jaune).
<br />
Le centre du volume 1 de 1,2 m de rayon est le point de raccord du flexible de la douche sur le mitigeur.


La machine à laver se trouve maintenant hors volumes.
<br />
Le sèche serviettes est dans le volume 2 de la baignoire et de la douche.


Le sèche serviettes qui se trouve dans le volume 2 devra être de classe II, à double isolation sans être relié à la terre et protégé contre les projections d'eau de toutes directions.

J'espère que ces détails aideront certains d'entre vous à comprendre la façon de déterminer ces volumes 1 et 2, tous les deux interdisant la pose d'un sèche linge, d'une machine à laver ou d'un appareil de chauffage de classe I.



Le plan des besoins de l'ensemble de la maison si tout est accepté. L'idée de modifier la SDB est rappelée par la flèche rouge. Chaque écriture en bleu est le lieu d'un appareil avec une alimentation dédiée.


Le plan de la salle de bain soumis au constructeur et à l'électricien pour avis.

 
Le travail de remise en place des cloisons par le plaquiste en sera également simplifié. Je lui garde toute ma confiance une erreur comme il l'a vécue n'enlève rien à ses qualités. Je pense pour ceux qui l'emploieront plus tard qu'il sera encore meilleur parce qu'il est des pièges pour lesquels il sera armé pour les déjouer.

Reste à vérifier la position des réservations dont je n’ai pas encore réussi à obtenir le plan.

Tout devrait rentrer dans l’ordre prochainement, reste également à déterminer définitivement le nombre de prises de courant et de RJ45 dans le salon.
C’est un point important, quand je pense que pour ma TV, chez moi, je bénéficie d’une barrette de 8 prises et que cela ne suffit pas toujours (TV, Caméscope, Magnétoscope, lecteur DVD, Lecteur VHS, Unité de disque dur autonome, Casque audio, Lampe d’ambiance, …)

De même pour les prises de courant spécialisées, il faut un circuit de 20A pour chaque appareil, même pour le congélateur qui n’en demande pas tant mais on peut imaginer des déplacements sans doute.
A quand la RJ45 pour chacun d’eux ?
 
Nous serons bientôt fixés.
 
A plus …
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« Visite de Chantier »

Second oeuvre > Cloisons - portes intérieures Par Paddos le 30/11/2018 à 12h07
Bonjour à tous,
 
Le lundi 26 novembre 2018, à la demande du Conducteur Des Travaux, nous nous sommes rendus sur le chantier.
 
J’ai pu constater la reprise des cloisons qui avaient été mal placées.
Certaines d’entre elles, celles du couloir, n’ont pas été refaites. Elles se trouvent désolidarisées des nouvelles et bougent à mi-hauteur. (les vis qui traversent d’abord le rail pour entrer ensuite dans le BA13 existant ne servent à rien)
J’ai suggérer de remédier à ce défaut en perçant dans la première plaque de la cloison coté couloir (entre les 2 portes) des trous permettant de passer des vis à BA13 qui recolleraient la deuxième plaque contre le rail de la cloison neuve.
Les trous dans la première seront ensuite rebouchés avec de la colle appropriée.
Le CDT proposera au plaquiste cette modification qui semble justifiée et n’implique pas des travaux volumineux.

La solution proposée.


 
 
J’ai remarqué que les portes situées le long du couloir qui n’ont pas été bougées, alors que toutes les cloisons perpendiculaires ont été déplacées de 7 cm, s’en retrouvent rapprochées des huisseries et notamment de celle de la porte d’accès au couloir dans le prolongement de sa nouvelle cloison de cuisine.

1 à 2 mm seulement entre la porte du WC et l'huisserie d'accès au couloir.

 
Suite à ma remarque, le CDT a positionné la porte WC sur ses gonds.
La porte WC s’ouvre bien à 90° mais elle arrive à 1 ou 2 mm de l’huisserie de la porte entrée du couloir.
Sur le coup, j’ai éprouvé du soulagement mais après réflexion, ce 1 ou 2 mm, après fermeture, c’est un espace libre du couloir.

L'espace ne peut être inférieur à 7 mm sous peine d'écrasement d'un doigt.

 
Si une personne y place sa main et qu’une autre ouvre en grand la porte des WC, c’est l’écrasement assuré. (dans le cercle rouge, 1 à 2 mm d’espace)
J’ai donc envoyé le soir même un SMS au CDT pour lui faire part de ma crainte.
C’est à lui de prendre la mesure du risque et la décision qui suivra.

Après réflexion, le CDT m'a informé le 04/12 de la nécessité d'écarter de 2 cm le cadre de porte pour éviter tout accident.
Encore une intervention supplémentaire pour les plaquistes, j'espère qu'ils ne m'en voudront pas d'être si pointilleux.
Je suis sûr qu'ils sont conscients du risque qu'ils vont éliminer.
Je ne peux que les remercier également pour leur coopération et leur investissement personnel.
Ils restent les meilleurs plaquistes à mes yeux.

Les gonds visibles sont ceux de la porte des WC.

 
Le montant juste à gauche des gonds est celui de la porte d’accès du couloir à partir des pièces de vie. Elle s’est rapprochée de 7 cm de celle des WC.
 
Le couple sur une porte de 80 cm multiplie par 20 la force d’appui sur l’huisserie qui se trouve à 4 cm des gonds.
Couple = 50 N x 0,80 m = 40 mN = 1000 N x 0,04 m
Si vous appuyer pour l’équivalent de 5 kg (50 N) contre la poignée de porte WC, vous ressentirez 100 kg (1000 N) entre cette porte et l’huisserie de l’entrée du couloir.
Sur cette surface, vu la consistance d’un doigt, cela ne pardonne pas.
Ce n’est pas comme entre la porte et sa propre huisserie où un joint est maintenant mis en place pour absorber la forme partielle du doigt.
Dans l’industrie, la norme que j’appliquais m’amenait soit à rendre inaccessible le lieu du danger, soit de prévoir un espace minimal de 7 mm, ce qui n’empêchait pas le pincement mais préservait de l’écrasement.
J’ai déjà assisté à l’écrasement d’un pouce à cause de la neutralisation d’une sécurité, il a été définitivement perdu. Il a été conclu à une faute de l’utilisateur qui a neutralisé la sécurité.
Là, il est impossible de rendre le risque inaccessible.
Le déplacement de la porte me paraît une solution sage.
 
 
 
 
Suite à ces remises en place des cloisons, la sortie WC s’est retrouvée presque centrée (à 1cm) et l’on pourra s’assoir en position verticale sur la cuvette.
Le passage de la gaine « air neuf » isolée de VMC DF se retrouve bien à nouveau dans l’angle comme prévu.
Le CDT m’a demandé de l’installer en vue de réaliser un « caissonnage » en BA13 de celle-ci.
Je me suis occupé de cela dans l’heure qui a suivi ; le lendemain nous devons reprendre la route pour notre domicile.

La gaine Air Neuf en place dans le WC.

 
Le tuyau PVC Ø125 rigide, visible qui sort de la dalle correspond à la hauteur de plancher à remonter : ravoirage 4 cm, isolant 6 cm, chape 5 cm et carrelage = Total 16 à 17 cm.
Le conduit en mousse couleur anthracite Ø125-160 en polyéthylène expansé recouvre 4 cm de ce tuyau.
Des raccords spéciaux qui garantissent l’isolation et l’étanchéité relient les différents éléments entre eux, notamment le coude en faux plafond qui renvoie vers le grand caisson étanche du couloir.
 
 
 
 
L’alimentation d’air pour un éventuel poêle à bois a été évoquée pour y installer une grille. Normalement, elle doit être obturable en attendant une connexion à un poêle étanche quand une Hotte ou une VMC est connectée à l’extérieur.

L'arrivée d'air par le vide-sanitaire d'un éventuel poêle.

 
Un coude a été mis en place pour l’écarter de la cloison et y placer une grille.
Pour info, même si le chauffage principal est une PAC Air-Air, il est obligatoire de prévoir une installation rapide d’un chauffage peu consommateur d’énergie électrique pour faire face à une réduction significative de cette énergie.
En cas de panne totale d’électricité, il est préférable que le poêle fonctionne sans ou éventuellement, alimenté par un petit groupe électrogène.
Un conduit d’évacuation des fumées doit être en place au-dessus avec une sortie de toit. On doit pouvoir y accéder rapidement pour y raccorder le poêle de façon étanche.
Un arrêté du 31 octobre 2005 et une circulaire du 24 juin 2008 donnent les détails de cette obligation.
 
LOI-SUR-LAIR.pdf
Ou le lien vers le site : http://www.bulletin-officiel.developpement-durable.gouv.fr/fiches/BO200813/A0130059.htm

L'arrêté du 31 octobre 2005.

 
 
 
Nous avons abordé le sujet de l’équipement électrique qui pose un petit problème depuis 1 mois.
La norme doit être consultée plus en détail pour connaître la nature exacte des travaux qui doivent m’être fournis.
Je vous en parlerai plus tard dans un message plus spécifique.
Attendons les résultats de l’examen de la norme NF C 15-100.
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« Etude et mise en place de l'électricité et plomberie. »

Second oeuvre > Electricité Par Paddos le 02/05/2019 à 21h00
Bonjour à tous,

 
Cela fait un bail que je ne me suis pas exprimé sur mon projet.
Vous m’excuserez mais celui-ci m’a énormément occupé en plus de multiples évènements familiaux.
 
Malgré le fait que la construction arrive bientôt à sa fin, je reprends là où je me suis interrompu pour respecter la chronologie narratrice.
 
Normalement, la construction aurait dû être terminée le 25 Novembre 2018, les travaux qui auraient dû démarrer le 25 janvier 2018 (3 mois après la réalisation des conditions suspensives) pour 10 mois n’ont en réalité commencé que fin mai en raison de quelques difficultés.
J’ai fait part de la situation au responsable de « La Maison des Compagnons ».
 
Le constructeur prétextant l’absence de chemin d’accès alors qu’en réalité le terrassier n’avait pas été assez sérieusement trouvé.
Pour le chemin d’accès à mon terrain, malgré une autorisation de voirie refusée par la mairie et ses interdictions abusives de la ville (les arrêtés du maire de Privas ont été annulés par le TA de Lyon depuis), je dispose d’un chemin large de près de 30 m puisque qu’un parking public jouxte ma parcelle. Ce terrain est carrossable et très stable, un camion toupie de plus de 40 tonnes a fait tout le tour du chantier sans s’enfoncer alors qu’il avait plu pendant 12 h sans discontinuer depuis la veille.
La différence de niveau avec le parking a été réduite à pratiquement rien.
 
Plutôt que de rechercher le conflit, j’ai obtenu du constructeur l’accès permanent au chantier pour me permettre de poursuivre mes propres travaux sans être obligé de faire des démarches chronophages pour accéder aux clefs.
Je rappelle que j’habite à 650 km du chantier, que je suis retraité et que je n’attends pas cette nouvelle maison à une date buttoir pour y être hébergé.
Un bon arrangement qui satisfait tout le monde vaut mieux qu’un conflit qui s’éternise et met à rude épreuve la confiance de l’un vers l’autre.
Chacun en tirera profit. Les 40 €/jour de retard que j’aurais pu exiger me paraissent moins importants que le maintien d’un dialogue permanent facilité par le respect mutuel qui s’est installé.
Le constructeur qui se trouve à 1h1/2 par l’autoroute peut utiliser ses artisans proches qu’il connaît sans être obsédé par le calendrier.
Personnellement, je pense qu’il aurait dû intégrer l’éloignement du lieu avant de définir une durée des travaux de 10 mois.
 
En décembre alors que je m’apprête à installer le réseau aéraulique de la VMC DF dans les combles, voilà qu’il faut que je me fasse opérer d’une récidive de hernie inguinale. Juste au moment où l’électricien terminait l’installation de son réseau, lui aussi dans le faux plafond. Nous avions convenu qu’il réaliserait son installation avant la mienne.
 
Justement, je m’étais arrêté sur l’évocation d’un problème avec lui.
J’avais 14 prises de courant réparties dans le salon, SAM et cuisine prévues par le CCMI. Lui en avait 12 de payées et moi la norme NF C 15-100 m’en donnait 16.
6 (cuisine) +8 (SAM+Salon) + 2(prises supplémentaires associées aux 2 RJ45). Il n’y avait qu’une prise RJ45.
Plus tous les circuits spécialisés : Sèche Linge, Frigo-congélateur, Four, Four Micro-ondes, Lave-vaisselle, plaque de cuisson, hotte, Poêle à pellets… et autres circuits spécialisé : radiateur, VMC, PAC chauffage, PAC Chauffe-eau Th D, …
Il y avait également quelques problèmes avec les PC spécialisées et circuit dédié de la cuisine.
Pour faire ce que je revendiquais en PC, l’électricien me demandait près de 500 € supplémentaires.
Après quelques échanges techniques, j’ai fourni un schéma plus complet d’implantation des prises et circuits dont je revendiquais la délivrance :
 
les prises de courant sont numérotées de 1 à 8.


 
Quelques oublis seront corrigés.
Après avoir corrigé l’implantation SDB (présenté dans mes commentaires du 09 novembre 2018), j’ai fourni le plan détaillé des équipements de la cuisine pour justifier les prises spécialisées.
Dans le cas d’une cuisine ouverte, considérer la surface de celle-ci pour 8 m² ce qui laisse dans mon cas 41 m² - 8 = 33 m² de surface de salon + SAM.
1 PC attribuée pour chaque 4 m²  donc 33 divisé par 4 = 8,.. PC pour salon SAM.
Il faut y ajouter 2 prises RJ45 accompagnées de 2 PC 2P+T
 
les prises de courant sont numérotées de 1 à 6.


 
Dans une cuisine de plus de 4m², un circuit dédié de 6 PC dont 4 au-dessus du plan de travail sont requises + celle de la hotte.
 
Pour la hotte le circuit est devenu spécialisé pour la simple raison que la prise est inaccessible en cas d’incendie ou autre déboire de celle-ci.
Il faut donc pouvoir couper ce circuit en conservant l’usage des autres alimentations.
Chaque appareil doit bénéficier d'un circuit spécialisé, ce dessin renseigne sur la disposition.



Chaque appareil doit bénéficier d'un circuit spécialisé, ce dessin renseigne sur la disposition.



Chaque appareil doit bénéficier d'un circuit spécialisé, ce dessin renseigne sur la disposition.


La cotation précise des éléments de la cuisine est importante.


Le renseignement sur les alimentations permettra aussi au plombier de placer les arrivées.


Le positionnement en 3D des prises de courant est précis.


Le calibrage et le positionnement en 3D des prises de courant est précis.


Le calibrage et le positionnement en 3D des prises de courant est précis.


Je remercie Cuisinella qui a élaboré certains des documents présentés ci-dessus.
 
J’ai refusé le devis tout en acceptant l’éclairage supplémentaire au-dessus de l’évier qui n’était pas prévu : + 60 €.
Après présentation sur demande de la norme NF C 15-100 de plusieurs fabricants (Schneider, Legrand, …) et Promotelec, j’ai convaincu le constructeur et l’électricien du bien-fondé de ma demande en équipement électrique.
Voici un lien vers le site de Schneider-Electric :
https://www.document.schneider-electric.fr/catalog/nfc-15100/index.htm#page/4
 
C’est encore aujourd’hui un document intéressant pour l’interprétation de la norme, c’est peut-être un fabricant de matériel électrique qui a intérêt à vendre un max (ce qui m’était reproché) mais cette interprétation me paraît plus abordable et pédagogique que celui d’AFNOR. Et, surtout, il est gratuit.
 
Il semble que, une fois les habitudes installées, la mise à jour de la norme ne soit pas intégrée régulièrement par les professionnels qui ont autre chose à faire que d’acheter celle qui est vendue par AFNOR.
 
Il faut donc être vigilant et s’informer constamment de la situation pour ne pas être dépassé et réagir en cas de non conformité. La suite confirmera.
 
Quelques jours après mon opération, j’ai pu me rendre sur le chantier où j’ai pu constater le résultat :
Tout était en place comme je l’avais souhaité.
Le constructeur comme l’électricien (et plombier) avaient accepté l’ensemble de mes remarques.
 
Toutes les gaines sont en place.


 
les départs plomberie sont là.


 
Les départs plomberie sont correctement identifiés.


 
Juste un petit problème, j’avais signalé une alimentation en eau chaude du lave-vaisselle qui n’a pas été prise en compte à cause du plan PT1.jpg ci-dessus.
Ce n’est pas grave, il suffira d’ajouter un robinet Eau Chaude. Même si le diamètre de la canalisation est plus petit que celui de l’eau froide, le débit restera largement suffisant pour tirer sur l’évier en même temps.
 
Toutes les prises de courant sont en place.


 
les gaines, l'évacuation des condensats du chauffe-eau et de la VMC, la PC du poêle et sa prise d'air en VS sont là.


 
Les PC du salon sont au complet avec les 2 PC sup. et les 2 RJ45.


 
La prise antenne, les 2 RJ45 et les 2 PC qui les accompagnent.


 
Le WC a ses alimentations en eau.


 
Les gaines distribuent par le couloir.


 
Même la VMC DF a son circuit spécialisé comme prévu.


 
La salle de bain dispose de toutes ses alimentations.


 
Il y a du monde sous la baignoire.


 
Rien ne manque pour la double vasque et la Machine à laver.


 
Les chambres sont dotées également : ch.3.


 
Certains pourraient penser que les gaines sont disposées sans respecter des lignes droites parallèles ou perpendiculaires.
Cette disposition est normale, elles seront noyées dans une première chape recouverte de 6 cm d’isolant puis d’une autre chape et enfin le carrelage encore 16 cm au-dessus du sol.
Elles seront hors d’atteinte, il n’y a donc aucune raison de respecter une disposition géométrique comme pour celles des cloisons.
 
Les circuits spécialisés ou dédiés sont identifiés avec leurs protections.


 
Tiens, le circuit du congélateur ne dispose pas d’une protection à immunité renforcée.
C’est seulement une recommandation chez Schneider mais est-ce une obligation ?
 
Les circuits sont identifiés avec leurs protections.


 
Les circuits sont identifiés avec leurs protections.


 
Le parafoudre, les 2 prises tableau et la coupure PC extérieure.


 
Le DTI est en place.


 
Le tout est bien là.


 
Pour résumer, j’essaie d’être objectif sans accabler qui que ce soit.
Il s’avère qu’une information personnelle m’a été indispensable pour réagir avec suffisamment de poids avec les professionnels.
Avant la construction, j’étais un amateur ignorant dans le domaine, il m’a fallu apprendre dans chacune des spécialités.
Je remercie ce forum et ses membres qui m’ont fourni les pistes pour être vigilant.
J’ai bien sûr du temps de retraité, des bases techniques et des facilités intellectuelles qui m’ont permis d’accéder à certains savoirs.
Tout cela me conforte dans la nécessité d’informer les candidats à la construction sur les pièges qui se présentent pour chaque spécialisation.
 
Ne m’en voulez pas de détailler ainsi les problèmes rencontrés mais il faut que chacun sache que faire construire par un constructeur, même en CCMI, ne vous garantit aucunement une conformité parfaite avec ce que vous êtes en droit d’obtenir.
Faire construire sans rien y connaître et faire une confiance aveugle et assurément vous aurez de nombreuses malfaçons.
Le dialogue avec les professionnels permet de rattraper la majorité des vices et éviter les conflits. Il faut pour cela pouvoir convaincre avec les bons arguments.
Il faut parfois accepter également quelques entorses aux normes, DTU, règles de l’art, …, même importantes pourvu que les conséquences soient mesurées.
 
A contrario, je n’ai toujours pas digéré que l’on m’impose le risque d’un point de Rosée dans l’épaisseur de l’isolation en présence du bois des fermettes.
Tous les calculs prouvent ce risque dans les conditions atmosphériques qui me concernent mais les textes des avis techniques autorisent cette situation qui n’est pas tolérée dans les Maisons à Ossature Bois (MOB).
Il faut donc, soit poser un pare vapeur, ce qui n’était pas prévu, soit prévoir une hauteur de mur qui permette un faux plafond suffisant pour que l’isolation ne soit pas en contact avec le bois de la charpente.
Dans mon cas le constructeur s’est planté de 10 cm en moins sur la hauteur des murs, ce qui aggrave le risque lié au point de Rosée.
Je n’ai jamais eu le courrier annoncé par le Conducteur des travaux Gros-Œuvre censé me rassurer qui aurait dû émaner du fabricant de laine de roche.
Je me suis donc contenté d’informer le constructeur.
 
Ainsi, autre remarque, le DTU 25.41 qui serait la bible pour la RT2012 n’a pas été respecté sur mon chantier les cloisons intérieures ont été montées alors que les enduits extérieurs n’étaient pas faits.
J’en ai fait la remarque au constructeur tout en relativisant, l’isolant est du polystyrène graphité qui craint peu l’humidité.
Les murs sont en briques et font moins éponge.
Ma maison est de plain-pied avec une toiture 4 pans, le débord de toit + chéneau, 40 cm sur tout le tour, protège de la pluie les murs qui ne font que 3 m de hauteur.
Le DTU devrait peut-être être moins contraignant pour certains cas.
 
J’invite toutefois les constructeurs à aborder le sujet avec les clients avant la signature du CCMI pour éviter l’incompréhension qui pourrait en découler.
 
Je retourne prochainement sur le chantier pour les finitions intérieures.
Dès que possible, je vous présenterai la suite des avancées :
Le carrelage pour le constructeur.
Le réseau VMC DF et les VRD pour moi.
Patience j’ai beaucoup de retard mais je n’oublie pas ceux qui, comme moi, ont embarqué dans la galère de la construction d’une maison.


Désolé  d'avoir été trop long.
 
A bientôt
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« VRD, carrelage et VMC DF »

Gros oeuvre > VRD / Fosse septique Par Paddos le 04/05/2019 à 18h19
Bonjour à la communauté de ForumConstruire.

 
Le 14 janvier 2019, je suis tombé sur un meuble-vasque pour salle de Bain en soldes équipé de sa robinetterie et accompagné d’un miroir.
Le tout était en parfait état. C’est un ensemble de fabrication Decotec distribué par Aubade à Nancy.
Je me suis laissé tenté en prévision de meubler la salle de bain de Privas. Celui-ci correspond à ce que nous recherchions sans succès jusque là.
Rien ne presse, le magasin n’aura qu’à prendre son temps pour le démonter et l’emballer soigneusement.
 
Le meuble au complet exposé dans le magasin Aubade de Nancy.


 
Détail d'une vasque et son robinet.


 
C'est encore cher mais c'est autre chose que les meubles de magasin de bricolage.


 
Le constructeur n’ayant pas trouvé de terrassier, c’est un comble, je me suis mis en relation avec ceux que je connaissais localement.
En discutant avec eux, j’ai compris le pourquoi du comment.
La livraison prévue le 25 mars nécessitait que le branchement soit terminé et opérationnel.
J’ai pu tout organiser à distance et prévoir l’intervention du terrassier rapidement.
Parallèlement, j’ai instruit mon dossier sur le site d’Enedis.
La réservation d’un logement AirBnb est prévue pour une semaine à 200 m du chantier à partir du 03/02/2019.
 
Nous avons une vue plongeante sur le chantier à partir de l'appartement AirBnb.


 
Le terrassier a pris contact avec le service d’assainissement que j’ai préalablement informé.
Le terrassement des eaux usées et pluviales commencent le lundi 04 février pendant ce temps là, les carreleurs sont en plein boum.
Je ne savais pas qu’ils étaient prévus même si j’avais informé le Conducteur des travaux de ma venue pour être sûr ne pas être gêné pour réaliser les réseau aéraulique de la VMC FD.
Ils en ont pour 2 jours à peine, il faut que le carrelage du salon soit terminé pour que je passe et accéder au garage, la porte sectionnelle n’ayant toujours pas été installée, je n’ai pas le choix.
 
J’organise donc avec le terrassier la progression du chantier, j’ai un peu de défrichage à faire pour lui faciliter l’accès et il y a toujours des bricoles à prévoir.
J’en profite également pour sonder le terrain sur 45 m jusqu’à l’assainissement collectif pour savoir s’il est possible de placer un puits canadien.
J’ai un devis matériel qui est prêt pour celui-ci avec un coût intéressant. J’ai 100 km à faire pour l’acheter mais malheureusement, la roche est présente partout à 70 cm.
Le coût d’une tranchée à près de 2 m de profondeur n’est pas envisageable. L’idée est provisoirement abandonnée.
Dans la pente du terrain, je pourrai toujours l’envisager à nouveau plus tard en creusant à 70 cm la tranchée en question et remblayer d’1,30 m par-dessus avec des matériaux à bas coût.
Je n’ai pas été surpris par la présence de la roche, je m’y attendais. C’est pour cette raison que tout était préparé mais la commande du matériel nécessaire au puits canadien je l’avais bloquée.
 
Le mardi 05 les carreleurs monopolisent l’intérieur pour réaliser les joints au sol. Je pourrai, demain, utiliser la zone pour commencer mon job.
 
Le mardi 05 février, les eaux usées sont captées, les eaux pluviales aussi.


 
Le carrelage au sol du Salon et de la Salle A Manger est en place mais les joints ne sont pas faits.


 
Pendant ce temps là, les carreleurs prévoient les joints du carrelage qui est posé. L'accès intérieur au garage.


 
Pendant qu'un carreleur fait les murs des WC.


 
L'autre se charge des murs de la salle de bain.


 
Le carrelage est prévu jusqu'au plafond.


 
Pendant ce temps là, le terrassier ne chôme pas.
 
 
Le mercredi 06, la place est libre dans la maison. Je vais pouvoir commencer par fixer les 12 bouches d’aspirations et souffleries au plafond en utilisant un silicone pour parfaire l’étanchéité.
L’après midi la cuisiniste vient prendre les mesures pour préparer la commande des éléments.
 
Pendant ce temps là, les tranchées d’amenée de l’énergie, de l’eau sanitaire, de la communication et de l’alimentation et commande du futur portail sont commencées.
Le regard sur le domaine public est équipé d’une nourrice en prévision de l’ancienne baraque de vigne mais un seul compteur est en place. On peut en mettre 2 sans problème.
Un regard à quelques mètres à l’intérieur permettant d’isoler l’une ou l’autre des maisons est mis en place également.
Tout est prévu en double pour ne pas avoir à recommencer plus tard.
 
Les tranchées des eaux potables, électricité, communication et alim. et commande Portail avancent.


 
L'ancienne maison et la neuve sont prévues en même temps, cela fait tout en double.


 
Pour l'eau 2 gaines bleues sont mises en place jusqu?au regard intérieur à la parcelle.


 
L'intérieur du regard, une vanne pour chaque maison pour un seul compteur dans un premier temps.


 
3 gaines vertes 2 pour la communication même si aujourd'hui avec la fibre une seule suffit, 1 pour la commande et 1 rouge de 65 pour l'alimentation du futur portail et une rouge de 90 pour Enedis.


 
Et l'on commence à reboucher la première tranchée.


 
Le jeudi 07, je vais aborder la pose du réseau de gaines de la VMC DF.
Dans le faux plafond, je renvoie avec un coude équipé d’un joint que je place dans la 2ème gorge de la gaine semi rigide.
Je dispose de 2 couleurs de gaine, juste assez pour les souffleries, 46 m de bleue et 40 m de blanche pour l’aspiration.
La gaine est munie d’un joint et enfoncée dans le coude en prenant soin de d’utiliser une bride de ma conception qui empêche une séparation au cas où quelqu’un se prendrait le pied dedans lors de la mise en place de l’isolation.
Le plus difficile a été de mesurer la gaine de 75 dans le garage pour des longueurs proches de 10 m à partir d’une bobine de 50 m sans plier le conduit.
Les 12 entrées et sorties sont ainsi équipées. Chaque branche est conçue pour une perte en charge minimale calculée pour régler l’ouverture de chaque bouche et obtenir le débit de référence prévu, pas de coude inutile mais de grand arcs.
 
Les électriciens sont passés par là, faut pas compter sur une étanchéité à l'air des cloisons.


 
Pas sûr que la connexion du luminaire soit étanche.


 
La boîte électrique est bien en place, elle sera accessible au besoin.


 
Une bouche est en place, l'étanchéité est assurée avec le plafond.


 
Le réseau sera recouvert de laine de roche jusque sur le dessus des fermettes : 36,5 cm.


 
Un petit rappel du réseau tel qu'il est en place. Les pertes de charge sont minimes mais calculées pour chaque branche.


 
Le raccordement de la première gaine semi rigide : bleu, c'est une soufflerie. La bride empêche un déboitement accidentel.


 
Pendant ce temps là, le terrassier conduit sa tranchée jusqu’à la vieille maison que je rénoverai plus tard, 40 m², c’est toujours ça pour y placer toute les commodités minimales.
 
Le terrassier approche de la vieille baraque de vigne.


 
45 m de tranchée, un regard est placé à mi chemin.


 
La 2ème tranchée avance bien jusqu'à la dépendance.


 
Un autre regard de visite est prévu proche de la sortie WC.


 
Vendredi 08, maintenant que la tranchée est faite, il faut terminer de l’équiper, recouvrir de sable et placer les filets avertisseurs.
Je me charge de passer sous le mur de la maison. La solution est simple, la cave voutée ne gêne absolument pas pour creuser une fois le mur franchi.
 
Le tout pénètre dans la vieille maison.


 
Les gaines sont recouvertes de sable et les filets avertisseurs mis en place.


 
Le réseau arrive près du porche, il faut encore passer le mur pour la gaine de 90.


 
Le porche avec le mur à percer et le regard pour les 2 maisons.


 
Le samedi 09 je m’attaque au trou dans le mur qu’il faut traverser sans le disloquer.
De l’autre coté je prépare la niche selon les directives fournies sur le site d’Enedis.
Les informations se révéleront fausses par la suite : Enedis a modifié le coffret et son implantation doit le faire descendre sous le niveau du sol.
En attendant j’attache solidement la gaine au poteau pour éviter tout accident.
Le lieu est très passant à certains moments.
 
Une des gaines traverse le mur, vous avez deviné laquelle ?


 
C'est celle là. Elle est solidement arrimée en attendant d'être coupée.


 
J'ai préparé la niche pour le coffret Enedis mais le format sera à revoir.


 
Les « vacances » dans la maison se terminent provisoirement.
Nous nous accordons avec le terrassier pour qu’il puise continuer la semaine prochaine.
Il faut raccorder les 2 maisons au tout à l’égout collectif, remettre les terres, déplacer quelque arbustes, préparer des trous de plantation, réaliser une tranchée de plantation et aménager le chemin d’accès en concassé.
 
Il faut que je rentre chez moi, il faisait -5° quand je suis parti et ma chaudière à fuel de 35 ans est en panne.
J’ai laissé un radiateur électrique en marche pour maintenir le hors gel à l’intérieur de mon habitation.
Un trou de 6 cm de long et 2 de large sur le dernier élément du foyer laisse passer l’eau.
C’est moi, bien sûr, qui ai agrandi le trou pour éliminer la feuille à cigarette rouillée qui subsistait.
J’ai prévu le remplacement de cette chaudière mais il faut d’abord que je consomme les 500 l de fuel qui reste dans la cuve.
J’ai un défit à relever, le grossiste chauffage et tous les chauffagistes m’on dit : c’est impossible de réparer, il n’y a pas de solution.
J’ai bataillé une semaine pour concevoir une bride bouchon au contact d’une eau en pression à 70° en-dessous et d’un air à plus de 600° au-dessus.
Pour cela, j’ai dû commander une feuille de joint haute température en Allemagne.
Je n’ai pas pris de photo de l’assemblage qui sert de bouchon mais à ce jour, j’ai vidé ma cuve de fuel, je vais bientôt démonter ce bouchon pour le garder en souvenir.
 
Un trou au fond de ma chaudière de 6 cm de long et 2 cm de large.


 
Le dimanche nous rentrons, Orange nous installe la fibre chez nous le 14/02.
En rentrant, il faut aussi que je prépare la venue d’Enedis le 21/02 pour la mise en place du coffret.
Ce sera la prochaine tâche que je vous présenterai.
 
[size=4]A bientôt[/size]
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Paddos Auteur : Paddos
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Informations sur le projet Informations sur le projet :
Type de travaux : Construction neuve
Type de construction : Plain pied
Style : Contemporaine / classique
Label énergétique : RT2012
Surface habitable : 85m² (4 pièces)
Superficie terrain : 3297m²
Informations sur le projet Constructeur du projet :
Maison des Compagnons
Roussillon (38)
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